Ce soir c’est la fête, vingt
ans de mariage sans nuage, les enfants sont partis chez leurs
amis et mon mari m’offre le restaurant. Je suis allée faire
quelques achats, une mini jupe en cuir rouge, un body
transparent en dentelles ainsi qu’un string ridiculement
petit, un soutien gorge pigeonnant qui fait gonfler mes seins cache difficilement leurs pointes, ainsi
que des bas. Le grand jeu quoi ! Vingt ans c’est quelque
chose et mon mari est adorable.
|
Il aime tout
ce qui touche au sexe alors que je suis moi-même un peu coincée
sur le sujet et j’ai décidé pour notre anniversaire de lui
faire plaisir.
Je suis BCBG,
plutôt jolie, pas très grande, svelte, des seins encore fermes
et bien proportionnés, un fessier plutôt coquin, un sexe bien
lisse et rond, des jambes galbées et un visage d’ange,
c’est ce qu’on me dit en tout cas.
Nous sommes
partis assez tôt et sommes bien trop en avance pour le
restaurant, mon époux qui déteste arriver en retard, prend
souvent des marges trop importantes. C’est l’inverse pour
moi qui suis toujours en retard. Après avoir roulé un petit
bout de temps sur des routes de campagne, temps pendant lequel
il n’a cessé de me caresser le cuisses et l’entre cuises
mon compagnon aperçoit un petit bar, il ralentit et arrête
notre voiture sur le parking situé en face du bistrot. Il
m’attrape par les épaules et m’embrasse langoureusement. |
« Je
t’aime » me dit-il.
« Moi
aussi comme au premier jour »
« Nous
sommes en avance, je t’offre l’apéritif ici »
reprit-il
Il
m’embrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins
de mon soutien gorge. Il les caresse délicatement en
s’attardant sur les pointes qui ne tardent pas à s’ériger
et durcir.
Puis il
continue ses caresses en promenant sa main sur mon sexe qui continue de s’humidifier
tout doucement.. Il
relève mes jambes, m’enlève le string et pose avec amour ses
lèvres sur le mont de vénus pendant que ses mains se baladent
sur mes fesses et titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu
avec mon clitoris de quelques coup de langues puis se relève
brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :
« Reste
comme ça » en mettant mon slip dans la boite à gant.
« Allons
voir ce petit bar, nous avons le temps et le resto n’est plus
très loin, nous finirons cette discussion après le dîner. »
dit-il avec un large sourire coquin.
Il
m’embrasse à nouveau et sort de la voiture. |
Je remet de
l’ordre dans ma tenue vestimentaire, sort de la voiture et
vois ce qui devait être le patron du bar s’éloigner en hâte
de la fenêtre. A priori il n’avait rien raté du spectacle.
Peut être à
tort, je ne dis rien à mon mari qui n’avait pas l’air
d’avoir remarqué le voyeur d’autant qu’il n’aime pas
trop ce genre de situation. Le bonhomme n’avait peut être pas
tout vu et n’importe comment, nous n’avions pas poussé la
chose trop loin. Et puis comme j’avais décidé ce soir
d’être coquine, et que bien sincèrement, j’étais déjà
bien excitée des attouchements de mon amour, cela me donnait ma
première expérience d’exhibitionniste bien que ce fut
involontaire.
Cela me
choquait d’ailleurs, beaucoup moins que j’aurais pu le
penser.
« Bonsoir
m'sieu-dames » nous lance t’il en matant ma poitrine
généreuse à peine cachée par le soutien-gorge sous le
chemisier transparent, que j’exhibe volontairement, forte de
ma première expérience d’exib et de mon petit minou encore
tout mouillé; |
« Bienvenue
chez « ROBERT », installez-vous, ce n’est pas
la place qui manque »
Le patron est
seul avec ses deux dobermans, c'est un gros bonhomme jovial
presque chauve qui nous félicite après que l’on lui ait
expliqué le pourquoi de notre présence.
Nous nous
installons, commandons nos boissons, trinquons à notre
santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de
choses et d’autres et plus particulièrement de ma tenue sexy
que mon mari trouve tout à fait à son goût.
« J’aimerai
bien que tu t’habilles toujours comme ça » me dit-il.
« On
verra » répondis-je en lui attrapant la main au creux de
la mienne.
La soirée
s’annonçait bien et je me sentais d’humeur charmante. J’étais
vraiment heureuse et prête à tout, pour que mon époux le soit
aussi. |
Peu de temps
après, un groupe d'hommes arrive perturbant ainsi notre intimité
.Ils s'installent à coté de nous, nous saluent, commandent
plusieurs bouteilles d’alcool, discutent avec le patron
qu’ils semblent connaître puis composent leurs cocktails eux
même dans un joyeux brouhaha.
Mon mari
interpelle le patron et commande une seconde tournée, j’en
profite pour tirer sur ma jupe qui décidément vraiment très
courte, découvre mes cuisses presque jusqu’au sexe. Cela
attire visiblement le regard du petit groupe d’à côté. Que
l’on voit mes cuisses passe et m’excite même un peu, pour
le sexe c’est autre chose. De plus, je leurs trouve un air pas
très catholique malgré qu’ils soient rieurs et chahuteurs. |
Voyant que je
les regarde, l’un d’eux se lève et vient discuter avec
nous.
« J’espère
que nous ne vous dérangeons pas trop » nous dit-il en
regardant furtivement ma poitrine.
Il sourit et
nous précise qu'ils sont là pour enterrer la vie de garçon de
l'un d'eux et s’excuse du bruit occasionné.
Nous lui répondons
cordialement qu’il n’y a aucun problème et que nous-même
sommes ici pour notre anniversaire de mariage, nous précisons
que nous leur laisserons la place libre rapidement pour
aller au restaurant.
« Cela
sera bientôt au tour du futur marié de compter les années de
vie commune » nous dit l’un du groupe et il nous propose
gentiment de trinquer avec eux.
Sans attendre
mon avis mon époux accepte et nous levons tous nos verres au
futur marié et à nous même. Nous entamons une discussion
courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutôt
sympathiques. Constatant nos verres vides, ils nous proposent de
goûter à leur mixture et sans attendre notre réponse le même
homme qui s’était déplacé la première fois, se lève à
nouveau et remplit nos verres.
Bien que fort
en alcool leur cocktail est bon et nous
commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et
ses contraintes.
Le temps
passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari
regarde sa montre et me fait signe de la tête qu’il est
l’heure d’y aller. |
Constatant
que nous nous préparons à partir, ils insistent pour nous
offrir une dernière tournée et joignant le geste à la parole,
nous proposent de réunir nos tables.
Nous
souhaitions être tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous
avons envie de passer une bonne soirée, alors un peu
d’animation avant le dîner est la bienvenue et le restaurant
attendra bien un peu.
Mon mari
semble ravi, la soirée commence bien,
il raconte ses dernières petites histoires assez
salaces, nous écoutons les leurs pendant qu’ils nous
resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous
n’avons pas l’habitude de boire autant et commençons à
avoir la tête qui tourne, Je me sens pour ma part sur un petit
nuage, euphorique !
Je remarque
à plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins
et mes cuisses que je croise et décroise volontairement, j’ai
envie maintenant de continuer l’exhib commencée sur le
parking et d’exciter ces hommes avant de partir. |
« Nous
allons vous laisser maintenant » leur dit mon mari qui
n’a pas l’air d’aller très bien non plus.
« Attends
cinq minutes »lui-dis je vais me refaire une beauté.
A vrai dire une petite envie m'oblige à avoir recours aux
toilettes avant de partir. Je me lève, tire sur ma jupe arrivée
aux fesses, traverse en titubant l'arrière salle, m’agrippe
aux tables et chaise pour ne pas tomber
et trouve les sanitaires. |
Le patron du
bar est en train de se laver les mains dans le lavabo.
« Vous
vous trompez de WC » dit-il en m’indiquant ceux
réservés aux femmes
« Oh
excusez-moi, je suis un peu pompette et je commence voir
trouble » dis-je en riant.
« Ce
n’est pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite
poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes
hommes sont des WC turcs »
Je passe à
côté de lui et il en profite pour me passer une main aux
fesses sous ma jupe qu’il malaxe avant que je m’échappe,
entre et ferme la porte
« Les
hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant
et bizarrement pas choqué par le comportement cavalier du
patron. Je m’assieds ou plutôt tombe maladroitement sur la
cuvette des water et fait mon petit besoin… à côté, sur le
sol.
« Houlala,
je suis vraiment pompette » dis-je
Je profite
malgré tout de ce moment d’intimité pour me remettre un peu
de rouge à lèvres et surtout réajuster mes seins dans les
balconnets qui ont bien du mal à accomplir leur mission. Cela
explique les yeux fixés sur ma poitrine durant l’apéritif.
Mais vu mon état, moi qui suis plutôt réservée d’habitude,
souris avec une pointe de fierté à l’attention que l’on me
porte. Je ressort d’autorité un sein du soutien gorge et sort
dans la partie commune pour trouver une serpillière pour
essuyer par terre et aussi me laver les mains.
Le patron est
toujours là.
« Je ne
vous ai pas choquée ?» me dit il.
« Non,
non mais j’ai fait des petites bêtises » lui dis-je en
montrant le plancher autour du bidet.
« Auriez
vous quelque chose pour essuyer ? »
« Prenez
du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans
cet état » me répondit-il sèchement.
Et me voilà
à quatre pattes en train d’essuyer ma maladresse.
|
Prétextant
m’aider le patron se met à coté de moi, s’accroupit
puis passe sa main par derrière jusqu’à la fente de
mon sexe qu’il caresse. Il introduit quelques doigts et
titille le clitoris qui commence à s’ériger.
Je sens mon
sexe redevenir humide et j’écarte les jambes machinalement
tout en finissant d’éponger le sol.
La seconde
main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première
laisse mon clitoris, il est à genoux derrière moi et guide sa
verge à l’entrée de mon intimité.
|
Dans un
sursaut de lucidité, sentant le gland écarter les lèvres de
mon sexe et avant qu’il puisse s’y introduire, je me relève
et sors des toilettes sans qu’il ait le temps de me retenir.
En sortant,
je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune,
ils se sont attablés et discutent dans cette arrière salle
toujours autour de plusieurs bouteilles d'alcool, je vois de même
mon mari de dos qui parle et continue de boire avec les 2 autres
de la troupe. Alors que je me dirige le plus rapidement possible
ce qui est un euphémisme vu mon état, vers ma table, toujours
en titubant et en me tenant, l'un des cinq hommes m'interpelle
joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre
avec eux avant de rejoindre mon mari et partir au restaurant
afin de donner quelques conseils féminins avertis au futur marié.
Devinant mon
hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la
bande m'attrape rapidement par le bras et me demande de
m'asseoir. Forte de l’expérience des WC, j'hésite à rester
ne sachant si je peux leur faire confiance mais la main ferme,
mon équilibre précaire, mon esprit embrouillé et l’envie de
ne pas passer pour une sainte-nitouche ont raison de mes réticences.
Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables ce
galant homme m'installe donc sans plus de commentaire, sur sa
jambe droite en me tenant par la taille.
|
« Cela
ne vous gêne pas j'espère » finit-il par me dire. Il
plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et
se présente en me faisant un large sourire.
« Moi c’est Denis »
« Moi
c’est Annie » répondis-je en rigolant, oubliant
promptement l’épisode qui vient de m’arriver.
Nous
discutons des femmes en général, surtout de moi,
et abordons les conseils au futur marié notamment sur la
fidélité qui ne doit jamais trahie en me donnant en exemple
avec fierté... toujours en sirotant le cocktail.
« Mon
verre doit être magique, je n'arrête pas de boire et il est
toujours aussi rempli » dis-je en m'esclaffant.
J’ai chaud
mais me sens bien avec toujours la vue sur mon mari de dos. Je
suis bien calée, les deux cuisses écartées autour du genou
(qui n'arrête pas de bouger) avec la main droite de mon
chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite
(qu’il caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens
des petits frissons me parcourir le corps.
|
« Vous
avez une poitrine superbe » me dit le plus jeune en face
de moi.
Je baisse la
tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet
et darde fièrement sa pointe sous l’étoffe
transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de
remettre le téton récalcitrant à sa place, mais avant que
j’aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la
remise en place, Denis me précède et passe la sienne sous le
body.
« Laissez
je vais faire »
Je suis de
plus en plus gênée et mes joues virent à l’écarlate
« Euh… beu ». Je bafouille et attrape vainement
le bras de Denis qui a sorti le sein complètement, le soupèse,
le caresse délicatement et titille la pointe. Absolument pas
perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second
sein qui subit le même traitement.
|
« Ne soyez pas timide, vous avez des
seins magnifiques, laissez les respirer, on voyait déjà
presque tout avant, alors un peu plus ! »
Peu convaincue par l’argumentation, je me
redresse d’un coup mais ma tête me tourne de plus en plus et
Denis me rattrape in-extremis m’évitant de tomber, il me
prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur
sa jambe.
« Pour les seins, cela restera notre
petit secret » me murmure t’il à l’oreille en y
plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe tout en
continuant de me peloter par dessus l’étoffe. Je suis
déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire,
répond en bégayant « Bon d’ac…d’accord, mais
c’est tout » et je reprend mon verre.
« Ne craignez rien votre mari est
là, nous l’avons prévenu que nous vous dirions au revoir
avant que vous ne partiez, il est d’accord ! »
Denis me cale de nouveau avec sa main sur
la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main
qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il l’a
relevée lorsqu’il m’attrapée et a dévoilé ainsi, mon
intimité et les autres hommes regarde mon minou avec insistance
je sens déjà une douce chaleur envahir à nouveau mon bas
ventre
|
« N’est-ce pas qu’elle est belle »
dit-il à ses amis
« C’est sûr » répondent en cœur
ses camarades.
« Je dois y aller maintenant, on doit partir
au restaurant »
« C’est dommage » me dit Denis »
on est bien ensemble.
La main gauche de Denis lâche ma poitrine pour
venir pétrir mon sexe trempé, j’écarte machinalement les cuisses
afin de lui faciliter la tache. Il passe lentement son doigt entre les
deux lèvres mouillées et caresse le clitoris déjà sensibilisé par
les doigts du patron, mes yeux se ferment et je me laisse aller et
appuie mon dos sur son torse.
|
Une main vient à nouveau caresser un téton,
j’entrouvre les yeux et vois le plus jeune de la troupe à coté de
moi, il relève le body et pétrit ma poitrine à deux mains. Denis
m’embrasse à pleine bouche, un
autre larron s’agenouille devant moi dit :
« Elle est toute épilée cette petite
salope,
j’adore ça ! »
Et il
commence à me brouter le minou avec vigueur. Denis enlève sa main de
mon sexe et me malaxe les fesses, la langue explore l’entrée de mon
intimité complètement trempée et joue aussi avec mon clitoris et mon
anus, mes seins passent dans toutes les mains.
Dans un sursaut de lucidité, je tente une nouvelle
fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper
cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain les mains qui
m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune
chance sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle
envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari
pour chercher de l'aide mais ne le vois plus.
« Non, s'il vous plait laissez-moi ».
Ces paroles à peine terminée, le brouteur de minou se retire, Denis me
soulève un peu ajuste son sexe avec une main sur l’entrée du mien,
me relâche et m'enfile d'un seul coup, je sens son gros membre chaud
envahir ce qui n’avait appartenu qu’à mon mari et lâche un râle
de plaisir.
|
J’écarte les jambes au maximum et me laisse
aller, j‘attrape la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la
mienne. Les autres enlèvent leur pantalon et s'approchent. On
m’attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma
bouche. Je le suce avec vigueur.
D’autres verges entourent ma bouche et je suce
tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même temps. Denis
s’applique à me faire des suçons dans le coup et un autre sur la
poitrine.
|
Malgré
moi je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et
branler plusieurs verges avec passion pendant que Denis me lime comme un
malade et pendant que les autres me caressent tout le corps. Luc, je
crois que c’est son prénom, va et vient lentement
puis accélère et éjacule dans ma bouche, j’avale toute la
semence avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu’à la
retombée du sexe.
« T’es vraiment une grosse pute sous tes
airs de bourgeoise » me dit Luc pendant qu’un autre prend sa
place. Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre que
Denis vient de jouir à son tour j’écarte les cuisses au maximum et lève
légèrement les jambes afin de sentir au mieux l’homme qui est en
train de me violer. Deux autres m'attrapent, m’enlèvent body et
soutien gorge, me mettent sur le ventre sur la table me lubrifie
l’anus avec leur salive, ils commencent à forcer l’entrée avec
leurs doigts et m'enculent à tour de rôle en me pelotant les seins,
c'est la première fois que cela m'arrive ; Mon mari a toujours
voulu me posséder par derrière mais j’ai toujours refusé.
|
Après un début franchement douloureux j’écarte
de plus en plus jambes et fesses afin que tous viennent remplir mon
petit trou. On me retourne à nouveau et mes trois orifices sont pris en
même temps. Jamais je n’ai joui autant. Je suis remplie de sperme et
bizarrement je m’imagine comme une dinde farcie …au jus d’homme.
Une fois que tous ont profité de moi, on me
retourne de nouveau et m'attache à la table, les fesses en l’air et
l’on m’introduit un objet plutôt volumineux dans la chatte.
|
Après plusieurs aller-retour, le patron du bar que
j’ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus arrive et me dit
« Écoute poulette ton mari n'allait pas très
bien, ce qui n'est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis
dans sa boisson. Nous l'avons ramené à chez lui en lui expliquant que
nous nous occuperons bien
de toi et que nous te ramènerons. Pendant que tu t’éclatais comme
une bête j’ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal
à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante.
Alors on va continuer à s’amuser puis on te ramènera chez toi, mais
tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu
viendras une fois par semaine vider nos couilles »
Il me balance deux bonnes claques en pleine figure
et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s'empare
d'une bouteille de bière l'ouvre et me l'enfonce dans l'anus déjà
dilaté.
|
Sous la poussée l’objet enfoncé dans mon vagin
est expulsé, drôle de sensation que cette bière froide qui envahit
mes intestins. Il s’applique à de long va et vient, j’écarte de
nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance,
ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul, à
chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe,
jette la bouteille et me sodomise à son tour pendant que les autres réinvestissent
ma bouche et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.
|
Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool
se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la
situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques
cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne
s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur, j’ai honte
et n’ose rien dire. On recommence à me caresser délicatement
l’entre jambes et les seins ; Broute minou repasse à l’action
et me lèche alternativement minou et anus. Je sens malgré moi le désir
monter à nouveau, mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt
à accueillir de nouveau. On
me détache, me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive
avec ses deux dobermans. Il ordonne à l’un de ses chiens de se
coucher devant moi, le retourne et me dit :
« Suce salope, t’es juste bonne à soulager
mes chiens ».
Devant mes faibles protestations je reçois une
nouvelle paire de claques. Ecœurée, c’est en larmes que je m’exécute.
|
Je constate que l'on ne cesse de me prendre en
photo.
Les festivités terminées, les deux compères qui
n'ont pas participé aux festivités m'attrapent sans ménagement et
m'entraînent nue à l'exception de mes bas, dans leur voiture. Quelques
kilomètres plus loin et nous
arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle durant la
nuit. Pendant tout le parcours celui qui était monté à l’arrière
du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant
sans jamais me faire jouir et c’est excitée comme une chienne en
chaleur que je suis offerte comme une putain.
|
Moyennant quelques Euros la passe, je me fais
reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux,
laids, j'ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard
à souhait qui m’a prise par devant et par derrière avec la
satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les
fesses dés qu'il le pouvait au bureau et ne s’en privera plus désormais.
La cerise sur le gâteau : Deux clochards m’ont prise en même
temps à titre gracieux
|
Suite à cela les deux hommes me raccompagnent chez
moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari dort toujours. Dans notre lit,
pas très en forme dans un semi-sommeil à moitié shooté, à moitié
conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il
se fait déposer gentiment par terre.
« Boum ! » et les deux hommes
investissent notre lit, ils m’attrapent et me violent à leur tour,
m'embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant
encore et encore devant mon homme qui nous regarde l’air hébété.
Ils m’obligent à me
coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un de
mes tortionnaires pendant que l’autre continue à prendre des photos,
Ils m’enculent à tour de rôle et pour finir en m'urinent dans la
bouche pendant que je crie de jouissance.
|
« Bon Anniversaire de mariage chérie »
me disent ils.
« T’es une baiseuse de première »,
« A l’avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les
bars, ça t’évitera des ennuis », « Pour ton mari,
t’inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se
rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t’inventer une histoire »
Et ils disparurent.
Tout c’est passé comme ils me l’avaient dit,
mon mari ne se rappelle plus de ce qui c’est vraiment passé après le
troisième verre, hormis un vilain
cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui dans notre lit
sans qu’il puisse intervenir, mais ce n’était heureusement qu’un
mauvais rêve argumente t’il !
Je me rends régulièrement au bar « chez
ROBERT « ou je me fais défoncer tout aussi régulièrement,
bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes,
fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients
sous la table et bien d’autres asservissements.
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A chaque fois je récupère une photo.
« Quand tu auras récupéré toutes les
photos tu seras libre poulette » me dit le patron, « A moins
que tu n’aime ça »
Quant à mon collègue de travail, il expérimente
avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Je ne compte plus les
fois qu’il me prend dans les toilettes de l’entreprise parfois avec
d’autres collègues qu’il a mis au courant. Il ne se passe plus un
jour sans qu’on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue
lesbienne profite de la situation.
Ne pouvant ne me confier ni à mon mari ni à la
police, je suis allé voir un « psy » Je me suis confié à
lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m’a
écoutée, et m’a déclaré qu’il n’avait jamais entendu
d’histoire aussi bandante.
Il se rend maintenant régulièrement au bar
« CHEZ ROBERT » et me baise à chaque occasion.
Mon mari n’est au courant de rien, je l’aime
toujours autant, lui aussi même s’il se plaint de temps en temps de
ma moindre disponibilité sexuelle.
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