Récits Divers - Page 2 |
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Je m’appelle Julie, j’ai 38 ans, je suis mariée et j’ai deux enfants. J’étais Chef d’un Service de Production dans une société de Service. Mon Directeur de Région avait au total 8 centre de production, soit en tout 10 Chefs de service. Tous les mois, nous avions des réunions de région où nous faisions le point sur les résultats sur la période écoulée. Cela se passait à chaque fois sur un centre différent afin que chacun puisse avoir un aperçu sur les autres centres. Cette fois ci la réunion se déroulait sur le centre de Rungis. Mon centre était au nord de Paris et attenant à la Direction Régionale. Par soucis d’économie, le Directeur avait donc décidé d’emmener dans sa voiture, sa secrétaire, une autre chef de service et moi-même. La réunion fût longue et un peu pénible car certains centres n’ayant pas atteints leurs objectifs avaient pinaillé pour tout et pour rien. A la fin de la journée, Il nous ramena d’où nous étions partis afin de reprendre nos véhicules. La secrétaire (accessoirement sa maîtresse) et l’autre chef de service s’en allaient et moi je passais par son bureau pour prendre un certain nombre de documents qu’il avait signé et qui concernaient mon centre. Il me fit entrer et me dit : "Tu veux un café pendant que je finis de signer les renouvellements de CDD ?" J’acceptais et retirais mon manteau. Il alla à la machine à café et m’en ramena un. "Dure journée n’est-ce pas?" me dit-il. "oh oui". Il était passé derrière moi quand tout à coup je sentis qu’on me prenait par la taille. "J’ai envie de toi" dit-il. "Mais enfin. Je… mais non. Je suis mariée". "Et alors moi aussi !" Sans me laisser le choix, il me serra contre lui, caressa mes seins d’une main et mon sexe de l’autre. Je sentais son sexe dur plaqué contre mes fesses. J’étais comme paralysée. Il me poussa vers son bureau et me renversa dessus. Sans rien dire, il releva mon pull et dégrafa mon soutien gorge. Il se mit à me caresser les seins puis à les embrasser, les lécher et les mordiller. Puis il releva ma jupe, et sans que je ne puisse rien faire, baissa mon collant et ma culotte en même temps. Il enleva une de mes chaussures et retira une jambe de mon collant et de ma culotte. J’étais allongée sur le dos, seins à l’air, jambes écartées, offerte. Il ouvrit son pantalon, sortit son sexe et me pénétra comme ça. Moi qui aime les longs préliminaires, j’étais à peine prête, et cela me fit un peu mal. Lui si courtois, si prévenant avec beaucoup de charme d’habitude, il me montrait une autre facette de sa personnalité. "Tu aimes ça hein, cochonne ?" me dit-il. Il allait et venait en moi de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je sentais que je ne pourrais pas m’empêcher de jouir. Il avait un sexe plus gros que celui de mon mari et cela me faisait de l’effet. "Tu peux crier, nous sommes seuls" dit-il. Je n’ai pu m’empêcher de crier. J’ai eu énormément de plaisir. Il a continué jusqu’à jouir. Il a jouit en moi. "Tu vois tu aimes ça. Tu es à moi maintenant. C’est comme Virginie (sa secrétaire) vous m’appartenez. A partir de demain, c’est robe ou jupe, bas avec ou sans porte jarretelles, fini les collants et les culottes, string uniquement". "Tu verras, je te ferais connaître autre chose, et tu n’as pas le choix, c’est ça ou la porte, divulgation à la société à ton mari, etc.…" Je dû me soumettre à ses volontés. Il venait dans mon bureau, il me prenait quand il voulait, comme il voulait. Je devais le sucer, le caresser ou m’exhiber devant lui. Il m’a fait participer à ses ébats avec Virginie. Cela devenait trop, un jour, il nous a offertes nues à deux de ses amis. Quatre heures d’enfer, où nous avons été prises dans toutes les positions, à plusieurs en même temps, humiliées, filmées. J’ai dû filmer Virginie se faisant prendre par les trois en même temps. J’en suis ressortie cassée, vidée, mon sexe était douloureux tellement j’avais été pénétrée, touchée, triturée. J’ai dû changer de travail pour avoir la paix.
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M.à.j. 21-06-2014 |