Récits FemDom - Page 1

 

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Mon fantasme

Aux champignons

Entre soeurs

Matinée en forêt

10 ans déjà..

 

Mon fantasme

 Suite à une annonce dans une revue spécialisée, je reçois une réponse : "Votre annonce m'intéresse, envoyez-moi une photo, une lettre de motivation et votre téléphone où vous joindre à n'importe quelle moment". Six jours se passent et toujours pas de réponse. Je m'inquiète, et voilà q'un soir, je reçois un coup de fil.

 Elle est d'accord pour me prendre à l'essai : "Ta femme est-elle au courant pour cette domination ?" Oui j'ai envoyé cette annonce avec son autorisation, car elle ne veut pas le faire elle-même. "Alors d'accord ! Vendredi tu viens sur le parking des Jacobins en jupe courte, sans culotte, et tu te mets à genoux à côté de ta voiture, mains sur la tête à 21 heures". 

 J'attends 15 mn sur le parking, et enfin une voiture arrive à ma hauteur, et repart. 5 mn plus tard, une autre voiture s'arrête et une femme vient vers moi. "C'est toi la salope qui veut se faire dresser ?". Elle passe sa main sous ma jupe. "Monte dans ta voiture et suis-nous". Direction un autre parking dans le centre ville. Là, je dois me changer, mettre un soutien-gorge rouge que je bourre de coton par dessus un chemisier et des chaussure plates de femme, une perruque. Je suis maquillé par l'autre personne, fond de teint, rouge à lèvre, etc...

 Il est 22 h 30 et nous partons à pieds, moi devant, ma jupe arrivée à la hauteur du début de mes bas, nous nous promenons dans le centre sur les voies piétonnes, ce qui me fait passer le long d'une queue devant un cinéma, la honte, j'espère qu'il n'y a personne qui me reconnaîtra. Zut, ma fille est là avec son copain, j'accélère le pas, ouf, enfin passé. A la voiture, maîtresse me demande pourquoi avoir accéléré devant le cinéma : "Il y avait ma fille et son copain". "Tu n'avais pas à le faire, personne ne te reconnaîtra dans cette tenue de salope !" "Pour ça, tu vas te coucher sur le capot de ta voiture et soulever ta jupe, toi va chercher le martinet, tu en recevras 10 coups que tu compteras en me remerciant". "Vlan, 1, merci maîtresse, 2, merci maîtresse, 3, merci maîtresse, enlève tes mains, vlan, aille, aille, 4, merci maîtresse, aille, aille, aille, 5, maîtresse.

 Toi, va chercher la corde et attache-lui les mains et tiens-le ! 10, merci maîtresse, 3 autres ,coup sur coup pour avoir été obligé de t'attacher les mains". On repart chacun chez soi ,plus rien pendant 15 jours.

 Le téléphone sonne, "c'est toi salope ?" "Oui !" "Veux-tu continuer ?" "Oui, ma fille ne s'est aperçu de rien, ils ont bien vu une fille blonde, avec une jupe à raz le cul". "Alors tu vois que j'avais raison !". "Pour continuer, plus de slip, que des dessous de femme en permanence : bas, string ficelle transparent ou en dentelle et surtout pas de chaussette par dessus les bas".

 Tout cela se fera avec le concours de ma femme pour les tailles des vêtements et des chaussures, et de plus, nous signerons un contrat de soumission avec la personne dominateur (trice), signé par l'esclave, la femme de l'esclave et la personne qui me dominera. 

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Aux champignons

 Voilà déjà près d'une heure que j'avance tranquillement dans cette partie de la forêt de Chauné, là où mes habitudes m'ont amené à découvrir quelque coin garni de ces cèpes bien charnus. Bien que nous soyons en début octobre, le temps est curieusement chaud, le ciel bien dégagé, ce qui change, par rapport à ces derniers jours, où justement, la pluie avait permis à ces champignons d’amasser les vertus nécessaires à leur développement soudain.

 Me penchant vers quelques feuilles formant un léger dôme, source probable de quelque cèpe caché en train de croître, j’entendis soudain, semblant venir du bout de ce petit chemin herbu qui partait sur la droite et se dirigeait je ne sais trop vers où, un cri sourd, à peine étouffé et quelque peu plaintif. Je me relevais et prêtais l’oreille plus précisément. A nouveau d’autres cris, ou plutôt d’autres plaintes très humaines s’enchaînant régulièrement. On aurait dit le « han » d’un bûcheron abattant un arbre et rythmant ses efforts.

 Je me décidais à abandonner un moment ma cueillette de champignons et, curieux, d’aller voir se qui se passait au bout de ce petit chemin….

 A mesure que j’avance, la voix, ou plutôt la plainte, se fait plus précise et émane avec certitude d’une personne de sexe masculin… Un bosquet de châtaigniers apparaît un peu plus loin, et j’aperçois derrière un de ces arbres deux formes humaines…

 Une vingtaine de mètres nous séparent à présent, et caché derrière un buisson longeant le bosquet de châtaigniers, j’assiste là, à un spectacle auquel je ne m’attendais pas, dans cette forêt réputée si calme et tranquille de Chauné…

 Appuyé de face à un châtaignier au tronc assez volumineux, les mains en l’air, les poignets reliés et attachés à une branche, un dos d’homme nu apparaît….Une des premières choses que j’aperçois, ce sont ses fesses striées de marques fines rougeâtres…..tout près de lui, une femme, semblant plus grande, le bras levé, et tenant ce qui me semble être une badine, assène visiblement avec délectation des coups rythmés sur ce postérieur bien viril mais ô combien dans une fâcheuse posture de soumission… La tenue de la femme me surprend quelque peu, dans ce lieu forestier….des cuissardes noires très hautes, attachées à un porte jarretelles, noir également, pas l’ombre d’un slip….Comme je la vois de trois-quarts dos, je peux admirer une croupe callipyge extraordinaire. Visiblement elle a le buste totalement nu, puisqu’ aucune ombre de quelque soutien-gorge ne vient troubler ce dos fantastique. Son visage semble également être totalement découvert, bien qu’une longue chevelure quelque peu ébouriffée, m’empêche d’en avoir la certitude.

 Soudain la femme s’arrête brusquement de frapper avec sa badine les fesses de l’homme, comme si elle avait perçue ma présence, ou alors sur supplication de l’homme, dont les plaintes s’estompaient petit à petit.

« Cela t’a plu mon chéri ? » demanda la femme d’une voix dans laquelle on percevait nettement  une sorte d’excitation lascive.

Pas de réponse de l’homme.

« Réponds- moi, car je voudrais bien que nous passions à la suite de cette punition  que tu as méritée et souhaitée aussi… »

 J’étais éberlué pas ce que j’entendais…Ainsi, l’homme avait non seulement mérité cette punition mais en plus il l’avait sollicitée…..

« Je te demande encore pardon mais j’avoue que moi aussi je prends plaisir à ce que tu me fouettes ainsi » répondit l’homme d’une voix un peu sourde, car atténuée du fait de la position de son visage contre  l’arbre. D’autre part, je n’avais même pas vu qu’un petit foulard beige lui cerclait la tête et donc devait cacher ses yeux.

« Bon, c’est parfait alors. Je vais détacher tes mains de la branche et vais passer à la suite du programme. »

 Ainsi dit, ainsi fait, séance tenante. La femme, se rapproche derrière l’homme, détache ses poignets de la branche, mais ne le libère pas complètement, bien au contraire. Elle glisse ses bras autour du tronc, au niveau de ses épaules, et rattache ses poignets derrière l’arbre. L’homme semble ainsi plus petit et surtout, un peu abaissé. La femme lui écarte soudain les jambes, d’un bon mètre. Un peu plié dans cette position et visiblement peu à l’aise, l’homme présente ainsi une courbure accentuée de son dos, offrant à la femme son fessier plus ouvert.

 La femme s’éloigne quelque peu vers un sac en cuir marron, posé à quelque mètres et que je n’avais pas remarqué auparavant, bien trop occupé à assister à cette punition, laquelle commence d’ailleurs à me procurer quelqu’ émoi. Elle sort de ce sac un tube de couleur bleue, et un godemiché double avec lanières.

 Elle se retourne et elle m’apparaît de face. Très belle femme, une belle chevelure brune, ébouriffée, un visage très sensuel, aux traits fins et doux, mais également curieusement assez durs. De face, ainsi, sa beauté apparaissait évidente, des seins peu volumineux mais bien implantés, ceux d’une femme épanouie qui me parait avoir dépassé la trentaine, voire plus. Un sexe épilé juste comme il faut, sous un mont de vénus qui ... souhaite un regard……Elle se baisse, enfile la lanière du godemiché autour d’une jambe, puis l’autre. L’objet se trouve ainsi devant elle, m’apparaissant d’une monstruosité énorme mais très excitante. Elle saisit la petite partie du godemiché et l’introduit dans sa bouche pour l’humecter, puis elle écarte son sexe en enfile dedans ce bout du gode. Ainsi, elle a un morceau dans son sexe et l’autre, plus long et plus large devant elle. Cette femme est tout simplement ahurissante de sexualité féminine et masculine tout à la fois et diable ! comme elle m’excite... je sens mon sexe, lequel avait durci déjà tout au long de la punition du fouet, grossir encore, comme s’il allait éclater. Je me dégrafe, baisse mon jean et mon slip et découvre ainsi mon sexe, chaud et dur, puis je me remets en position d’observation.

 La femme se retourne, se dirige vers l’homme, lequel ne bouge pas; elle se baisse derrière lui, ouvre le tube, le presse et s’enduit plusieurs doigts de la main droite d’une sorte de gel. Elle écarte les fesses de l’homme. Je la vois titiller son anus doucement mais avec fermeté; elle le pénètre avec un, puis deux doigts afin de bien le lubrifier. Puis elle étend à nouveau du gel sur la partie du godemiché en érection devant elle.

 Elle écarte à nouveau les fesses de l’homme, lequel bouge de droite à gauche. La femme s’appuie derrière lui et, tranquillement, avec précision elle le sodomise.

 La réaction de l’homme est extraordinaire….Il gémit, mais non de plainte ou de douleur, mais au contraire, il semble visiblement éprouver un plaisir évident, et si fort d’ailleurs que la femme, toujours enfilée dans son anus, passe une main sous les fesses de l’homme, ente ses cuisses et ramène en arrière son sexe en érection. Je pensais qu’il devait souffrir, ainsi sodomisé et le sexe érigé, ramené ainsi derrière lui. Il se courbe d’ailleurs un peu plus, certainement gêné par son sexe ramené en arrière et ainsi ses fesses sont plus offertes encore au va et vient du godemiché qui le pénètre.

 L’homme émet des gloussements de plaisir, la femme semble éprouver un plaisir violent à posséder ainsi cet homme, quant à moi, je ne tiens plus en place, je me lève, mon sexe en main.

 Je dois faire quelque bruit, car soudain la femme s’arrête de sodomiser l’homme et se retourne brusquement vers moi. Je n’ai pas eu le temps de me rabaisser pour me cacher derrière le buisson. La femme m’aperçoit, me fixe avec des yeux durs mais attirants à la fois. Elle lâche le sexe de l’homme qu’elle tenait toujours ramené vers elle, lève la main et avec son index droit me fait signe d’approcher.

 Je suis stupéfait, car je m’attendais plutôt à une attitude défensive de la part de cette femme, surprise en train de sodomiser cet homme. Et bien, pas du tout…son self contrôle est affolant. Elle continue à me faire signe d’approcher, son regard ayant perdu de sa dureté et elle attend visiblement que je réponde favorablement à son invitation.

 Je ne me retiens pas longtemps. J’ôte complètement mon jean et mon slip, et je me dirige vers elle, juste vêtu d’un tee-shirt et de mes bottes. Drôle d’allure.. et j’ai un peu froid tout de même…nous sommes en octobre. Mon sexe a perdu de son excitation. L’homme est toujours dans la même position, elle s’est retirée de lui, et elle se retourne complètement vers moi.

« Chéri, nous avons un invité surprise, tu ne dis rien et tu acceptes qu’il soit là, ç’est la partie imprévue de ta punition » dit elle à l’homme.

 Il ne répond pas, mais visiblement il n’a pas le choix, où il accepte cette nouvelle situation.

« Je vais faire ce dont j’ai envie, tant avec toi, qu’avec notre nouvel invité, et tu ne dis rien, c’est ainsi ».

 Elle s’approche de moi, se met à genoux, saisit mon sexe dans sa main gauche, prends mes testicules tous gonflés dans sa main droite, approche sa bouche de mon sexe, lequel a grossit à nouveau. Elle me suce lentement, tranquillement, pendant qu’elle malaxe mes testicules.

« Tu vas me sodomiser, pendant que je sodomiserai à nouveau Alex. »

 Elle se baisse, reprend le tube de gel, se retourne de dos vers moi. Elle écarte ses fesses, enduit son anus d’un peu de gel. Puis elle repart vers le sac de cuir, reviens avec une plaquette de préservatifs. Très excité par son intervention sur mon sexe et sa promenade sur son anus, elle n’a aucun mal à m’enfiler un préservatif.

 Elle se retourne vers l’homme (Alex donc..) et lui pénètre à nouveau l’anus.

«  Approche-toi derrière moi, écarte mes fesses et sodomise-moi. Attention, tu n’as pas le droit de jouir, tant que je ne te le dirai pas, sinon tu auras droit à la même punition qu’Alex »

 Je m’exécute. Je m’approche d’elle, lui écarte ses fesses extraordinaires, prend mon sexe avec avec ma main gauche et l’introduit doucement dans son anus. Elle ne se cabre pas, bien au contraire, elle colle sa croupe contre mon ventre. Je m'introduit en elle, et pendant qu’elle sodomise Alex, je la sodomise. Le rythme s’acquiert facilement. Alex gémit, la femme semble apprécier hautement cette situation, elle hoquète doucement. Elle ressaisit le sexe d’Alex entre ses cuisses avec sa main gauche, et avec sa main droite elle me prend les testicules.

«  Attention à toi, ne jouis pas, surtout pas, sinon, gare »

 C’est trop me demander. Emporté par cette situation, je sens que je ne vais plus me retenir longtemps, d’autant plus qu’elle semble de plus en plus excitée et que tout à coup elle se met à se cabrer, à pousser des feulements extraordinaires, et je la sens partir soudain dans un orgasme puissant. Je ne me retiens plus non plus et je me délivre dans le préservatif et son anus.

 Quelle jouissance, quel plaisir extrême. Même Alex semble avoir apprécié la situation, car visiblement il a joui dans la main de la femme.

 Quelques instants plus tard, nous semblons tous apaisés. La femme s’est retirée de l’anus d’Alex, je me suis retiré du sien. Elle se retourne et d’un regard étonnamment menaçant elle me dit :

« Je t’avais ordonné de ne pas jouir, il me semble, non ? Visiblement tu n’as pas obéit »

 Je suis penaud, mais que répondre à cela.

«  Bon, tant pis pour toi et pour moi. Pour aujourd’hui, nous en resterons là, car il fait de plus en plus froid et je ne suis plus d’humeur à continuer. Mais n’oublie pas que je te dois une punition sévère. Je pourrais t’inviter gentiment à ce qu’on continue ce qui a été inachevé, mais je préfère t’en intimer l’ordre, afin que tu y penses régulièrement et que je puisse te châtier lorsque le moment sera devenu opportun. Je te donne mon N° de téléphone, tu m’appelleras dès que tu sentiras qu’il est devenu indispensable pour toi d’être puni ».

 Le femme repart vers le sac en cuir, prend un stylo, un bout de papier et inscris dessus un N° de téléphone. En m’embrassant sur la bouche, elle glisse ce papier dans ma main.

« Maintenant, repars d’où tu es venu, ne cherche pas à nous suivre et à très bientôt, mais avant dis-moi comment tu t’appelles ? 

- Patrick, lui répondis-je. »

 Dans le sac de cuir, elle récupère un pull gris, une sorte de gabardine crème. Elle se rapproche d’Alex, le délivre de ses liens, lui passe la gabardine sur les épaules ; elle s’enfile le pull, me fait signe de m’éclipser. En repartant vers mon buisson récupérer, mon jean, mon slip, mon panier à champignons, mon bâton, je me retourne et je la vois qui enlève le bâillon qui couvrait les yeux d’Alex.

 Je récupère mes effets, reprends le chemin herbu en sens inverse, je me dirige vers l’autre sentier plus large menant à ma voiture, récupère les clefs cachées dans un  taillis tout à côté (je n’emmène jamais avec moi mes clefs lorsque je vais aux champignons, de peur de les égarer), ouvre ma portière et m’assoies sur mon siège, complètement anéanti par cette séance. Le souvenirs se bousculent dans ma tête….

 Je n’ai pas cherché à suivre la femme et Alex….où avaient-ils stationné leur voiture ? sont –ils restés encore un peu ? sont-ils repartis et vers où ?

 Que de questions auxquelles je pourrais obtenir une réponse en téléphonant à cette femme, car déjà l’envie de la revoir, de subir sa punition me taraude l’esprit…

  Imaginez un seul instant la suite de ce récit…………….Peut-être…???

 Écrivez-moi, si vous souhaitez savoir ce qui va se passer…je vous raconterai et publierai sur ce site….

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Entre soeurs

 Mariés depuis près de 15 ans, nous formons, pour la famille, les gens qui nous connaissent, ce qu’on appelle un couple modèle : deux enfants 7 et 10 ans, un travail plaisant pour mon époux, moi à la maison et libre de mes faits et gestes, toute la journée lorsque les enfants sont à l’école.

 A première vue, rien ne peut détruire notre couple, même si les si les deux ou trois aventures (celles que j’ai pu savoir) de mon époux auraient pu ternir quelque peu notre couple. Mais il n’en a rien été, car pour moi le sentiment et l’amour m’ont toujours paru plus importants. Je dois avouer toutefois qu’en prenant de l’âge (pas loin des 35 ans) je constate que ma sexualité ne doit pas être totalement épanouie, des fantasmes de plus en plus torrides m’occupant l’esprit, souvent au cours de la journée, le soir en m’endormant, la nuit en me réveillant parfois. 

 Alain, mon mari, semblait jusqu’à présent, m’apporter ce que je souhaitais, l’amour tranquille, la sexualité dite « normale », mais je m’aperçois qu’il me manque quelque chose, les images sexuelles que je vois dans mes fantasmes éveillant en moi tout un tas de choses troubles et diablement excitantes. 

 J’ai découvert un jour, par hasard, en allant sur internet et en cliquant sur « favoris », tout un tas de sites enregistrés par Alain. Stupéfaite, j’ai découvert qu’il ne s’agissait que de sites pornographiques, ou de sex-shops.

 J’en ai parcouru plusieurs et au fil de mes découvertes, tant d’accessoires et gadgets érotiques que de photos dont je ne pouvais supputer l’existence, j’ai constaté qu’un réel émoi intime s’éveillait en moi.

 Les jours et les semaines, les soirées et les nuits sont devenues plus ternes pour moi, quant à l’amour physique avec Alain, il y avait quelque chose qui n’allait plus.

 Je décidais de m’en ouvrir à ma sœur, de cinq ans mon aînée, et avec laquelle nous avions une certaine intimité. Elle, de son côté avait un amant depuis bientôt trois ans, avec lequel, me disait-elle, elle vivait une sexualité très ouverte et sans tabou, alors qu’auparavant elle me confiait que sa sexualité n’était que « traditionnelle ».

 « Jacques sera là jeudi après-midi, si tu veux, viens à la maison, nous en parlerons ensemble »

 Le jeudi suivant j’étais chez Nathalie, ma sœur, pour déjeuner. Pendant le repas, Jacques n’étant pas encore arrivé, nous avons discuté très intimement de la sexualité de ma soeur et du manque de piment de la mienne. Quelque chose m’a surtout frappée au cours de notre discussion, c’est l’excitation qu’elle éprouve à punir (fessées, fouet, cravache) son amant et encore plus de le sodomiser avec des godes simples ou ceinture.

 J’avoue que ceci m’a excitée car, pour moi aussi, c’est quelque chose pour lequel j’éprouve un réel plaisir lorsque je regarde les sites pornos sur internet et que je visite les sites de sex-shops. Jamais nous n’avons envisagé avec Alain l’achat de tel ou tel accessoire.

 « Vois-tu Marie, c’est moi qui achète ces articles sur internet, je le cache à Jacques, et lorsque nous sommes ensemble, nous les découvrons et les utilisons. C’est merveilleux et crois-moi nous éprouvons un plaisir immense. Tiens j’entends Jacques qui monte l’escalier »

 Bel homme, assez grand, mince, autour des 45 ans, vêtu d’un jean et d’un polo noirs.

« Je te présente Marie, ma sœur », lui dit-elle en l’embrassant .

 Il vient vers moi, passe sa main droite derrière ma nuque de façon très sensuelle, approche ma tête de la sienne et m’embrasse sur les deux joues.

« Marie reste avec nous tout l’après-midi, nous avons à discuter de sa sexualité »

 Jacques ne semble visiblement pas choqué du tout, moi, je suis un peu étonnée de la façon directive de Marie de présenter les choses.

« Si nous pouvons aider ta sœur sur sa sexualité, je n’y vois aucun inconvénient, bien au contraire – Alors, Marie, quels sont ces choses qui te posent problème ? »

 Jacques s’ est assis sur la canapé, à côté de Nath. Je suis face à eux, dans le fauteuil. Nath a croisé ses jambes, ce qui a relevé un peu sa jupe. Je constate que ma sœur, visiblement porte des bas. Jacques me reluque un peu et apparemment il est déçu par ce qu’il voit, car, comme d’habitude…je porte une paire de collant. 

« Et bien, avec Alain ma sexualité n’est pas épanouie. J’ai des fantasmes assez forts et je ne sais comment les réaliser avec lui »

- Il faudrait tout d’abord que tu te vêtes un peu autrement me répondit-il, en continuant le tutoiement - Portes-tu toujours des collants avec ton mari ?

-          Ben..oui…..

-          Nath, qu’en penses-tu, si vous passiez dans ta chambre toi et Marie, qu’elle enlève ses collants et qu’elle essaie un de tes porte-jarretelles et des bas ?  Prêtes-lui également un de tes strings. Qu’elle revienne ainsi vêtue ensuite, sans sa jupe »

 Nath ne répondit pas à Jacques, semblant tout à fait d’accord avec lui. Quant à moi, j’étais un peu estomaquée qu’ils décident tous deux de ce que je devais faire….. Nath se lève, me prend la main, et sans rien dire, elle m’entraîne vers sa chambre.

« Allez, laisse toi faire. Descends ta jupe, enlève tes collants et cette culotte de grand-mère »

 Je surprends un drôle de regard dans les yeux de Nath, un regard à la fois fraternel et en même temps quelque peu pétillant.

 Je suis nue, à partir des fesses, Nath me regarde d’une curieuse façon. Elle semble me redécouvrir, car, il faut bien le dire, nous ne nous étions pas regardées, nues de la sorte depuis notre adolescence. Elle m’ attache le porte-jarretelles, m’ enfile et m’ attache des bas gris à couture, et en me levant les jambes pour me passer un de ses strings noirs, je sens soudain sa main appuyer fermement mes fesses, puis je la vois la  glisser ensuite entre ses cuisses….Nath semble excitée, et moi aussi…!!!! Je me sens toute frémissante…est-ce le fait de cet habillage par ma soeur ou le fait d’imaginer ce qui va se passer ensuite ? Pas un mot, je ne prononce pas un mot, Nath non plus. Comme demandé par Jacques, Nath ne remet pas ma jupe.

 Nous revenons dans le salon, où Jacques nous attend, semblant ne pas avoir bougé. Il me regarde, d’abord dans les yeux fixement, puis descend son regard vers mon anatomie. Il ne dit rien.

 « Voilà comme tu voulais Marie, dit Nath. Si ça te convient, tu vas te déshabiller à ton tour. J’espère que tu n’as pas mis de slip, car tu savais que tu devais venir sans, aujourd’hui, compte tenu de la punition qui t’attend depuis quelque temps. »

 Je suis assez interloquée.

« Ne t’inquiète pas, c’est ainsi, il va devoir exécuter ce que je lui demande et toi Marie obéir à mes ordres. D’accord ? »

- Ben…oui, d’accord » Que pouvais-je dire d’autre alors que j’étais venue pour avoir des conseils…….

 Jacques se lève, enlève son polo, dégraffe son jean et le descend sans dire un mot.

 Il apparaît ainsi nu, le sexe légèrement érigé. Je suis estomaquée devant cette nudité d’homme qui n’est pas le mien et qui m’apparaît ainsi devant ma sœur.

 Nath s’approche de Jacques, s’agenouille devant lui et prend son sexe dans sa bouche. En même temps elle passe son autre main sur ses fesses, les écarte légèrement et promène ses doigts le long de son anus. Elle se relève et son regard croise le mien. Je suis hyptontisée mais dois-je l’avouer assez excitée.

« Approche-toi de Jacques, agenouille-toi devant lui et suce-le », me dit Nath.

 J’ hésite, puis soudain me décide. Pendant ce temps Nath a laissé tomber sa jupe à ses pieds. Jacques est toujours debout, je suis agenouillée devant lui, son sexe dans ma bouche. J’ apprécie assez cette situation, et comme Nath, tout à l’heure, je passe mon autre main sur les fesses de Jacques, mais sans oser toutefois les lui écarter et laisser errer mes doigts sur son anus.

« Ca suffit maintenant Marie. Relève-toi – Toi, chéri, retourne-toi et appuie-toi sur le dossier du fauteuil»

 Jacques se retourne et s’appuie sur le dossier du fauteuil. Sa position éveille alors en moi un désir violent, celle que j’ai ressentie plusieurs fois en regardant des photos sur internet, là où l’homme semble être complètement à la merci de la femme ; la tête penchée en avant dans le fauteuil, les fesses complètement en l’air et bien dégagées.

« Ne bougez-plus, je reviens, dit Nath, se dirigeant vers sa chambre »

 Nous n’avons pas bougé, j’ai continué à fixer les fesses de Jacques, une excitation puissante me poussant à m’approcher de ce fessier et de le fouetter.

 Nath revient, avec une sorte de petit sac en cuir.

« Ma trousse à accessoires », dit-elle  

 Je me suis assise dans le canapé. Le regard de Jacques est tourné vers moi, il regarde mon entre-jambes que volontairement ou inconsciemment j’ai écarté.

 Nath s’agenouille derrière Jacques, lui écarte les fesses des deux mains, de façon assez énergique. Elle approche son visage et je la vois soudain qui lui titille l’anus avec sa langue. L’excitation monte fortement en moi.

 Elle se baisse, ouvre son sac, prend un tube, le presse, en fait sortir une substance luisante et grasse.

« Marie, approche-toi et prends le godemiché rose dans la trousse ».

J ’obtempère illico, très excitée.

« Tu vas lui enduire l’anus avec le gel et ensuite tu le sodomiseras avec le gode, m’ordonne ma sœur. »

 Ce que je fais séance tenante. Pendant que Nath tient à nouveau les fesses de Jacques bien écartées, je récupère le gel à la sortie du tube avec mon index droit, et tranquillement j’en enduit le pourtour de l’anus de Jacques. Puis je le pénètre avec mon index, puis avec mon majeur. Jacques se contorsionne un peu trop au goût de Nath, car elle lui dit d’une voix un peu forte : « Tiens-toi tranquille, ce n’est que le début de ta punition. Si tu bouges encore, tu seras doublement puni ».

 Jacques ne bouge plus. J’ai complètement lubrifié son anus, je prends le gode rose, l’enduis également de gel, et doucement le lui introduis dans l’anus. Jacques se contracte au début, puis paraît se relâcher…Je pousse le gode plus à fond….Incroyable, l’excitation que je ressens. Nath a relâché les fesses de Jacques, elle s’est redressée, je fais de même. Debout toutes deux, nous contemplons... notre œuvre et le fessier de cet homme sodomisé.

« Maintenant, prends, le masque, le serre-poignets et le fouet qui sont dans le sac, me dit Nath »

 Je récupère ces objets et sans que ma sœur ne me dise quoi que ce soit, je sais ce que je dois faire, car j’en ai follement envie.

 Je passe le masque sur la tête de Jacques afin de lui cacher les yeux, attache ses poignets avec le serre-poignets, mais là, je bloque. Je ne parviens pas à imaginer pour l’instant de le fouetter, d’autant plus que c’est Nath qui doit une punition à son amant et non moi.

 Elle me prend le fouet, me demande de m’écarter et soudain, assène sur le fessier de Jacques un coup assez violent. Il ne s’y attendait pas de suite, visiblement, car ce premier coup le fait sursauter.

« Tu ne bouges pas, et ne dis pas un mot, sinon tu seras puni plus fortement »

 Et Nath lui assène à nouveau plusieurs coups de fouets, en laissant les lanières traîner lentement sur ses fesses et sur le godemiché, entre chaque coup. Jacques ne bouge pas, mais je vois qu’il a du mal à supporter. Nath, me tend soudain le fouet et me fait signe de continuer…Ma réticence préalable a disparu. Je prends le fouet et assène à mon tour un coup, puis d’autres sur les fesses rougies et fortement marquées par les traces des lanières. Je suis prise d’une sorte d’orgasme devant ces fesses sodomisées et marquées.

 Nath, constatant mon excitation, arrête soudain mon bras. Elle se baisse un peu, parcourt le fessier de Jacques de nombreux petits baisers, lui retire doucement le godemiché, puis prend une autre crème qu’elle passe sur les fesses de Jacques. Une crème calmante je suppose.

 « Voilà, chéri, tu savais que tu serais puni, Marie m’a aidée, je pense que cela lui a fait du bien pour sa sexualité. Maintenant, on va te délivrer de ton masque et tes liens, tu vas te rhabiller, et nous allons parler de Marie et de ses problèmes. »

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Matinée en forêt

 Nous nous étions donné rendez-vous de bonne heure le matin, dès 7h30 sur le parking de ce super-marché qui longe la voie rapide. C'était plus pratique ainsi, je pouvais y laisser ma voiture toute la journée, et c’était plus amusant aussi.

  Pour une fois, je n'étais pas en retard à un RV.

 La première chose que je lui dis lorsque je montais dans sa voiture  fut ceci :

 "Comme tu peux t'en douter, cela m'a fait bien fantasmer, de penser à ce voyage avec toi. Mes pensées érotiques m’ont totalement empêchée de dormir.

 Je me suis vêtue en conséquence, tenue spéciale pour une journée spéciale, et comme tu aimes. D'autant plus qu'avec cette chaleur torride, c'est encore plus facile et agréable".

 Il remarqua immédiatement que j’avais préparé tout ce qu'il fallait: un petit sac de voyage avec tout ce dont j’aurai besoin pour l'occasion.

 « Tu vois », lui dis-je, « j'ai pris avec moi la corde et les pinces que tu m'avais apportées à la maison, nous n’avons pas encore eu le temps de bien les essayer, c’est aujourd’hui le jour où je vais te lier les mains, les pieds avec la corde, et tu devras supporter les pinces sur ton sexe pendant une grande partie de la journée. J’ai également apporté ma  ceinture gode que tu adores, le fouet, du lubrifiant anal, etc. enfin tu vois, j’ai pensé à prendre tous les accessoires que tu apprécies tant

 Cette fois, nous aurons encore plus de temps pour mettre à exécution tous nos fantasmes, certains déjà réalisés, les autres pas encore ….. l’attente est encore plus excitante, n’est ce pas ???

 Connaissant aussi ton intérêt pour les forêts, je suis certaine que tu as prévu de superbes endroits que tu vas me faire découvrir"

 Puis, nous partons, roulons une centaine de kilomètres, quand soudain, en traversant une petite forêt, je lui ordonne  :

 "Arrête la voiture, ici dans ce petit chemin, descends, ôte ton pantalon, pas ton slip car j'espère que tu n'en a pas mis... comme d’habitude lorsque l’on prévoit un peu ce style d’amusement, et  viens te placer à l'arrière de la voiture".

 Puis, je lui demande de mettre son pantalon dans le coffre, d'en sortir le sac, puis de refermer ce dernier, et d'aller marcher pendant plusieurs mètres, dans un coin plus dense de la forêt, auprès d'un arbre que j’ai repéré, et de se placer ainsi face contre l'arbre, en me présentant bien son fessier. "Ainsi, lui dis-je, je vois bien tout ton corps frémissant de désir et d'appréhension. »

 Il s’éloigne vers l’arbre et s’exécute. Il sent bien que je l'observe, et que je viens le rejoindre même s' il ne m’entend pas marcher. J’ai ôté mes chaussures afin de le surprendre à un moment où il s’y attendait le moins. Je l’ai laissé patienter ainsi pendant au moins 10 mn, l’attente a du lui paraître bien longue, et son excitation était en croissance perpétuelle, je le sentais à sa respiration en m’approchant de lui.

 Je sors les cordes et sangles, et je l'attache en lui liant les poignets et les chevilles autour de l'arbre ; et .............. on entend arriver un autre véhicule. Là, j’attends de voir ce que les passants vont faire, nous sommes allés loin du chemin de passage de la forêt. S’ils décident de s’arrêter au même endroit que nous, cela pourrait être amusant. Mais non, ils filent leur chemin, ils n’ont même pas dù nous apercevoir.

 Ce qu'il ne sait pas, c'est que j'ai aussi apporté un tablier de soubrette. Je le sors donc de mon sac, puis je passe mes mains entre le bas de son ventre et l'écorce de l'arbre afin de le dégager un peu. Là, je vois bien qu'il se demande où je veux en venir. Je fais passer le tablier devant son sexe, il me demande si je tente de lui faire porter quelque chose comme un porte-jarretelles. Je ne réponds pas. Je fais passer les liens autour de sa taille, les noue derrière son dos, et lui dis de regarder. Il est très excité de se voir ainsi. Je me recule un peu et prends quelques photos de ses fesses ainsi présentées, avec le noeud du tablier qui se balade le long du haut de la raie de ses fesses. Ensuite, je reviens près de lui, et lui met un loup sur les yeux. Il ne voit plus rien, mais il sait de quelle manière il est vêtu, avec juste un tablier de soubrette permettant de bien montrer son joli cul. 

 Je commence alors avec le fouet et lui dis : "Je vais te donner 20 coups et tu dois les compter, sans te plaindre. Chaque gémissement de ta part augmentera le nombre de coups de fouets prévus, 1 cri de ta part = 5 coups de fouets supplémentaires, jusqu'à ce que tu ne dises rien". D’un souffle il me répond « oui, je ferais ce que tu veux, je suis prêt ».

 Le 1er coup arrive sur ses fesses, il dessine encore plus la raie de celles-ci. Là, il compte sagement chaque coup que je lui porte. IL sait qu’il a bien mérité cette correction et ne dit rien d’autre. Je continue,  … mais à partir du 6ème , il commence à gémir. J’admire toutes les marques que je viens de laisser sur sa peau , sur ses fesses, ses cuisses, le bas de son dos.

 Je veux qu’il se souvienne longtemps de cette correction, et que les marques restent le plus de temps possible. Il a bien compté les 20 coups que je lui avais promis, mais avec trop de gémissements à mon goût, j’ai donc ajouté une petite série de 10 autres. Il finissait par ne plus rien sentir du tout. Son superbe fessier était habitué à la cadence régulière des battements de lanière. « Quel joli travail lui disais-je en admirant toutes ces traces. »

 Puis, je range le fouet en lui disant: "Ca a duré longtemps car tu t'es plains trop souvent, et si tu as bien compté, ce sont  40 coups de fouet que tu as reçus au total."

 - Oui, et tu as eu raison car je les méritais vraiment ; me répondit-il. C’est vrai que parfois je me comporte très mal et j’aime que tu me fouettes ainsi pour me punir. »

 - Mais dis-donc, ne serait-ce pas une punition qui se transforme en récompense ? Pas tout à fait, car tu vas avoir du mal à t’asseoir pendant quelques jours je pense. Mais maintenant, tu vas avoir une récompense.

 Je lui masse délicatement les fesses, le dos, et les cuisses avec une crème apaisante afin de le préparer à une séance plus douce.

 Puis, je desserre ses liens et lui demande de se pencher en descendant un peu.

 "Ainsi je peux davantage admirer ta croupe et jouer comme j'en ai envie avec ton orifice anal auquel tu as bien sûr pris soin de faire une bonne toilette de rigueur,  je sais que tu le prépares toujours à la perfection.  Je peux le titiller avec ma langue, mes doigts, puis ma main bien enduite de gel. J’ai prévu des gants aujourd’hui, afin de profiter d’une pénétration bien profonde et plus aisée surtout. Avec ce gant de vinyle, tu auras une sensation très agréable, tu pourras ainsi mieux me sentir en toi, et je pourrai bien préparer la pénétration suivante. »

 Il baisse un peu la tête de côté,  et me voit en train de mettre ma ceinture-gode. Je l’entends déjà gémir de plaisir et d'envie.

 "Je te laisse ainsi quelques minutes car il fait très chaud, j'ai soif, je vais me désaltérer un peu", lui dis-je.

 Puis .... je  réapparais, je lui donne quelques gorgées d’eau.

 Son anus est tout prêt, bien grand ouvert pour me recevoir... c'est vrai qu'il attendait depuis si longtemps ..... et tout à coup, je le pénètre, de plus en plus profond. Il me dit que c’est très bon, qu’il n’a pas mal du tout, je l’ai parfaitement préparé à cette pénétration.

 Je m’arrête un peu pour lui caresser le sexe, l'attache  autour de ses couilles qui sont toutes rougies, il porte toujours le tablier.

 Puis, plus tard, je le libère de tous ses liens et m’allonge sur l’herbe et lui dis :

 "Allonge-toi tout près de moi, viens me caresser, et me lécher la chatte. Je t’ai préparé un goûter surprise. J’enduis mes lèvres de confiture à la framboise (il adoooooore le tout !)

 Et ensuite, je veux que tu lubrifies bien mon anus avec le gel pour me sodomiser à ton tour". Je l'aide à se débarrasser du tablier car je veux profiter de sa nudité totale.

 Puis nous faisons l'amour dans ce lit d'herbes hautes, nous sommes cachés par les trèfles et les marguerites qui nous caressent en même temps. Il fait chaud, nous sommes épuisés, et nous nous endormons ensuite pendant une petite heure.

 L’endroit est vraiment superbe, nous en profitons encore pour faire une balade, cueillir quelques fleurs que nous mettrons certainement sur la table de la cuisine ; ainsi à chaque repas, nous penserons encore pendant un moment à cette longue matinée.

 Il est  bientôt 12h30, nous reprenons la route pour aller déjeuner dans un endroit champêtre, très agréable, à quelques kilomètres de notre forêt.

 Il roule doucement, son pantalon baissé en haut de ses cuisses, je lui caresse le sexe, et en conduisant, il parvient encore à jouir dans ma main.

 Quelle belle journée !!!!! …. mémorable !!!!!!!!!!!

 L’été vient de commencer, les vacances aussi …. Il y en aura d’autres …. de belles journées ….

 Si vous souhaitez nous raconter à votre tour, vos moments intimes, n'hésitez pas à nous écrire.

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10 ans déjà..

Voir ma femme maltraitée devant moi par une autre femme, une vraie maîtresse dominatrice. La voir se faire fouetter, voir ses fesses rosir, ses petits seins marqués, la voir grimacer de ce mélange de plaisir et de douleur, godée, bâillonnée, attachée, bousculée, giflée, prise par cette maîtresse avec un gode ceinture, huuuum!! cela m'excite énormément. Peut être le vivrai-je un jour, ce n'est pas impossible si cela reste évidement dans le domaine du jeu. Nous avons pratiqué mais seuls et elle appréciait, étant plus jeune que je la soumette, que je la fesse, que je la gifle pendant que je la prenait bestialement. Osera t'elle 10ans après ? Je lui en parle dés ce soir, promis.

juillet 2005

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M.à.j. 21-06-2014

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