Récits Fessées - FEMME/FEMME

choisissez votre récit :

Entre voisines

La fessée de Carine

Entre voisines

 Brigitte entra dans l'allée de sa propriété et arrêta sa Golf Cabriolet près de la porte du garage. A ses côtés, Isabelle admirait le magnifique jardin de sa voisine qui la ramenait de leur match de tennis. Isabelle travaillait dans l'enseignement et profitait de ses vacances d'été pour pratiquer le plus possible son sport favori avec sa voisine depuis trois mois. Yves, le mari d'Isabelle, travaillait pour une société internationale et était souvent absent. Bien que menant un train de vie aisé, celui-ci n'était pas comparable à celui de Brigitte et Marc. Ce dernier, directeur d'entreprise, permettait à sa femme, grande et belle femme blonde de 40 ans, de ne plus travailler et de passer le plus clair de son temps dans sa propriété. Isabelle, jolie brunette aux charmes un peu plus ronds, venait de fêter ses 33 ans et admirait en secret le corps svelte et athlétique de Brigitte en qui elle avait découvert une parfaite partenaire de tennis.

 Les deux femmes s'appréciaient de plus en plus et Brigitte lui proposa comme souvent de prendre un verre au salon. Sans être vraiment intimes, elles commençaient à se laisser aller à quelques confidences sur leurs couples respectifs. Brigitte et Marc menaient aujourd'hui une vie calme mais avaient appris à savourer les plaisirs de quelques fantasmes secrets. Isabelle, bien que gaie et pulpeuse, paraissait plus timide et plus réservée que Brigitte. Celle-ci avait néanmoins déjà remarqué le manège d'une BMW noire qui venait régulièrement chez sa voisine quand son mari était absent. L'homme aux lunettes noires qu'elle voyait en sortir laissait peu de doute sur la raison de ses allées et venues... En resservant un verre de vin blanc à Isabelle, Brigitte plaisanta en disant :

- Attention, c'est un vin aphrodisiaque, Marc et moi avons pu encore nous en apercevoir hier soir. 

 Intriguée, Isabelle essaya d'en savoir plus :

- Et, il était très aphrodisiaque ?

 Brigitte, émoustillée et décidée à partager des petits secrets avec sa voisine, lui répondit :

- Après quelques verres, Marc s'est révélé une fois de plus très dominant et je me suis retrouvée sur ses genoux, ma jupe relevée et ma petite culotte abaissée.

 Isabelle n'en croyait pas ses oreilles et était bien décidée cette fois à en savoir plus :

- Sur ses genoux, la culotte abaissée ? Mais ne dit pas que ... 

- Si. Et j'ai eu droit à une fessée qui me picote encore les fesses aujourd'hui, répondit Brigitte en souriant. Marc ne le fait pas très souvent, mais c'est un petit jeu que nous avons découvert depuis quelques années.

 Isabelle écarquillait de plus en plus les yeux et dit :

- Mais cela doit faire mal ! Et puis c'est humiliant.

- Ca fait un peu mal, mais ça peut être aussi très agréable, et même, très excitant, avoua Brigitte. Et puis, je crois que je l'ai parfois méritée.

 Brigitte voyait le trouble qu'elle provoquait chez Isabelle et cela l'amusait. Aussi, elle décida d'aller plus loin : 

- Mais peut-être que Yves te donnes aussi la fessée quand tu le mérites ?

 Isabelle serra un peu les cuisses et se mit à rougir en disant :

- Non, non, nous ne faisons rien d'anormal...

- Mais cela n'a rien d'anormal ! Imagine toi tes jolies fesses offertes et ton slip abaissé quand tu n'as pas été sage. Tu ne crois pas que c'est une belle punition... Et excitante !

 Quelque chose se passait en Brigitte qui était plus que de l'amusement. Elle commençait à sentir une douce chaleur en haut de ses cuisses et prenait de plus en plus de plaisir à voir le désarroi d'Isabelle.

- Moi, je crois que c'est quelque chose qui te conviendrait et Yves devrait prendre l'habitude de le faire. D'ailleurs, je crois que ce serait amplement mérité. 

- Mais, tu es folle qu'est-ce que tu racontes ?, répondit Isabelle toujours très intéressée mais de plus en plus anxieuse.

- Comment Yves réagirait-il s'il voyait le manège continuel de cette BMW noire devant chez toi ? Je pense qu'il aurait bien raison de te punir, poursuivit Brigitte.

 Isabelle devint alors rouge vif et se sentit soudain comme une petite fille devant Brigitte et s'exclama :

- Oh mon Dieu, ne lui dit jamais ça, il serait si ...

- Si fâché, reprit Brigitte. Et tu mériterais beaucoup plus qu'une seule fessée. Et je crois vraiment que c'est ce qu'il te faut.

 Cette fois, Brigitte, ne se reconnaissant plus, s'était prise totalement à son jeu et voulait aller jusqu'au bout. Elle ajouta :

- Tu ne crois pas Isabelle ?

 Isabelle regardait Brigitte avec des grands yeux et n'arrivait plus à répondre.

- Est-ce que je dois demander à Marc de te punir ?

- Oh non, j'en mourrais, s'écria Isabelle.

 Brigitte regarda Isabelle fixement dans les yeux et lui dit calmement : 

-Bon. Alors, je ne vois qu'une solution Isabelle. Tu vas venir t'allonger sur mes genoux.

 Se disant, elle s'installa au milieu du divan et releva sa fine robe bleue sur le dessus des cuisses. Isabelle ne bougeant pas, elle ajouta :

- Ou est-ce à Yves de le faire ? et elle tendit une main décidée vers Isabelle. 

 Comme hypnotisée, Isabelle se leva et attrapa la main de Brigitte. Celle-ci la tira lentement mais fermement vers elle. Isabelle se trouva rapidement à côté de Brigitte qui continua à la tirer vers la gauche et elle finit par basculer sur ses genoux. Brigitte, lui maintenant les hanches, la centra bien entre ses cuisses. Elle la prit fermement d'un bras par la ceinture et lui asséna rapidement un premier SLAP, léger mais surprenant. Isabelle resta tétanisée. Brigitte hésita un instant devant cette situation inhabituelle. Puis, elle se décida et se mit à taper : SLAP,SLAP,SLAP ... sur les fesses rebondies, mais fermes, recouvertes de la fine robe bleue qu'Isabelle avait passée après sa douche au tennis.. Celle-ci voulut à se débattre, mais Brigitte continuait à la tenir. Isabelle criait :

- Brigitte arrête, s'il te plait...

 Mais, en toute réponse, Brigitte lui souleva le bas de sa jupe et la lui rabattit sur le haut de son dos et des deux mains la tira sous les cuisses d'Isabelle. Sous la ceinture, seul un petit slip blanc protégeait bien mal son magnifique fessier de la vue de Brigitte. De son bras gauche, celle-ci raffermit sa prise autour d'Isabelle et recommença à la fesser de plus belle : SLAP, SLAP, SLAP. Elle frappait une fesse et puis l'autre, sur le slip d'Isabelle mais également plus bas sur les cuisses. Isabelle criait :

- Non, non, mais celle-ci continua plusieurs minutes. 

 Brigitte voyait avec plaisir ces jolies fesses rosir autour et en dessous du petit slip blanc. Elle marqua alors un temps d'arrêt. Isabelle parut reprendre son souffle un instant. Mais Brigitte lui annonça :

- Maintenant, il est temps que la punition commence vraiment.

 Et de sa main droite, elle attrapa l'élastique du slip d'Isabelle et le tira le long des ses cuisses. Elle l'abaissa jusqu'au creux de ses genoux pour bien dénuder les fesses. Et quelles fesses ! Quel splendide spectacle s'offrait à la vue de Brigitte ! Isabelle voulut se débattre et cria :

- Non, pas ça, mais il était déjà trop tard.

 La fine étoffe de soie reposait en bas de ses cuisses. Brigitte passa sa main sur la peau douce et fine d'Isabelle, flattant au passage les deux hémisphères rebondis. Les joues d'Isabelle étaient maintenant rouges vif et elle lança :

- Oh, Brigitte, tu ne peux pas...

 Mais déjà Brigitte recommença à frapper ses jolies fesses : SLAP, SLAP, SLAP, SLAP, SLAP, SLAP, SLAP, SLAP. Cette fois, Brigitte ne retenait plus ses coups et voulait vraiment punir Isabelle. Les coups claquaient et provoquaient à chaque fois un sursaut de sa victime à moitié dénudée. Isabelle s'était mise à gémir et lancer des petits cris, entrecoupés de : non, non, mais Brigitte continuait : SLAP,SLAP,SLAP,... 

 Elle prenait soin de couvrir toute la surface de ses claques appuyées et les fesses d'Isabelle devenaient de plus en plus rouges comme deux belles pommes. Elle veillait également à claquer le haut des cuisses, ce qui la faisait sauter et gigoter de plus belle. Brigitte sentait la douce toison brune du mont de Venus de sa voisine lui caresser délicieusement la cuisse. Elle s'arrêta un instant pour repositionner correctement Isabelle, qui s'était manifestement résignée à recevoir sa punition. Elle se pencha tout-à-fait vers la droite du divan, attrapa le petit slip toujours logé au creux des genoux, le fit glisser jusqu'aux chevilles et le passa au-dessus d'un des souliers. Elle repoussa alors légèrement le corps d'Isabelle vers l'avant du divan jusqu'à ce que sa jambe droite tombe sur le tapis. Les cuisses d'Isabelle étaient maintenant bien écartées, une reposant sur la cuisse de Brigitte et l'autre sur la jambe, son entrejambe appuyé sur le genou de son bourreau. Brigitte recommença alors ses claques bruyantes :   SLAP,SLAP,SLAP,SLAP,SLAP,SLAP.

 Elle s'occupait de plus en plus de l'intérieur des cuisses d'Isabelle qui continuait à gigoter et à gémir plus langoureusement. A chaque coup, elle sentait son clitoris frotter sur le genou de Brigitte et son sexe devenait de plus en plus mouillé, ce qui augmentait encore la honte qu'elle éprouvait. Brigitte se rendait compte de l'émotion, qu'elle devinait humide, de sa voisine. Elle-même sentait une chaleur intense l'envahir qui lui mouillait complètement son slip. Entre les claques, elle sa mit à caresser les fesses chaudes d'Isabelle et laissa aller sa main plus à l'intérieur des cuisses. Elle lui dit, tout en continuant sa vague de claques et de caresses : 

- Je crois que tu as bien mérité cette punition. SLAP,SLAP,SLAP.

- Mais, je crois que cela ne suffit pas et je devrai certainement recommencer. Tu es d'accord, Isabelle ?

 SLAP. Isabelle, comme dans un rêve, s'entendit répondre :

- Oui, oui. 

 Brigitte osa glisser sa main entre les cuisses écartées et passa deux doigts sur la partie la plus intime. 

- Mais, tu es toute trempée !, dit-elle en se penchant comme pour vérifier ses dires et savourer le spectacle de ces deux lèvres roses et mouillées. 

- Sens toi-même, et, en disant cela, elle souleva légèrement Isabelle par la taille pour qu'elle mette son genou en appui sur le divan et qu'elle redresse les fesses. Allons, passe ta main !

 Isabelle, devenue obéissante, descendit sa main jusqu'à son sexe et y plongea deux doigts tout en gémissant. N'y tenant plus et sans attendre le commandement d'Isabelle, elle se mit à faire aller et venir ses doigts dans son sexe détrempé, en passant à chaque fois sur son clitoris qui dardait comme jamais auparavant. Et rapidement, dans une véritable explosion, elle se tétanisa et cria un long Aaah, avant de se laisser affaler sur les genoux de Brigitte, la main toujours entre ses cuisses. Pendant plusieurs minutes, elle était encore agitée par des petites secousses et poussaient des petits gémissements. 

 Elle fermait les yeux, l'impression d'être sur une autre planète. Le slip de Brigitte n'avait pas pu retenir toute son humidité intime et l'intérieur de ses cuisses était tout mouillé. Elle finit par donner une dernière claque sur les fesses rougies d'Isabelle et dit : -Je crois que c'est bon pour une première leçon-. Elle aida Isabelle encore étourdie à se relever et la mit debout face à elle. Elle s'agenouilla pour ramasser le slip d'Isabelle, encore accroché à une cheville, le passa sous l'autre soulier et le fit glisser tout le long des jambes, soulevant sa jupe qui était retombée et le remit à sa place initiale en jetant un dernier regard à sa toison brune. Elle l'embrassa d'un petit baiser sur les lèvres, la prit par la main et la conduisit jusqu'à la porte d'entrée. Elle l'ouvrit, regarda une dernière fois Isabelle dans les yeux et lui dit :

- Nous en reparlerons après notre match de tennis de jeudi.

retour haut de page

La fessée de Carine

LA FESSÉE DE CARINE, DEVANT SES DEUX FRÈRES !

 Frédéric et Jean-Jacques sont deux jeunes garçons, respectivement treize et quatorze ans, qui habitent avec leur soeur et leur maman dans un appartement de la banlieue parisienne. En effet, comme ça arrive de plus en p lus souvent en ces temps troubles, leurs parents sont divorcés et c'est la maman qui assure seule l'éducation de ses trois enfants. Et elle a fort a faire ! Frédéric et Jean-Jacques sont de véritables petits diablotins qui n'arrêtent pas de faire des bêtises et de désobéir. 

La maman a d'ailleurs une méthode, plutôt ancienne, mais qui a fait ses preuves depuis des décennies, la fessée. Et croyez-moi, elle sait y faire, en graduant la sévérité des châtiments en fonction des fautes commises et des répétitions de fautes... Dans les cas graves, elle baisse carrément les culottes et fesse directement sur le derrière nu, et en général devant le frère et la soeur qui voient tout et ne se privent pas de rire pour la plus grande honte de celui qui se fait ainsi punir !...

En général, donc, c'est surtout Frédéric et Jean-Jacques qui se font punir, car Carine, leur grande soeur, est plutôt sage et ne donne pas lieu à de grosses punitions. C'est une gentille et jolie adolescente, cheveux châtain clair, mi-longs, raides, avec un joli petit visage mutin, un peu à la manière de l'actrice Sophie Marceau telle qu'elle était a l'époque de son fameux film "La Boum" ...En tout cas, au moment ou commence notre histoire, ni Frédéric ni Jean-Jacques n'avaient vraiment eu une quelconque occasion de voir vraiment leur grande soeur déculottée devant eux pour la fessée, en tout cas pas depuis bien longtemps, au moins 8 ans. Et ça leur manquait terriblement ! 

En plus ils faisaient chambre séparée, les garçons dans une chambre et Carine dans une autre chambre, et les occasion de voir leur grande soeur toute nue, ou même d'apercevoir simplement sa chatte, étaient extrêmement rares... Mais aujourd'hui, en ce fameux jour de juillet, leur attente allait enfin être satisfaite. Carine ramenait son bulletin scolaire et, pour la seconde fois en six mois, il était désastreux. Il faut dire que Carine était vraiment tombée amoureuse cette année-la, et les questions scolaires ne l'intéressaient plus vraiment... Au premier bulletin, à Noël, elle avait ramené des notes catastrophiques et sa maman s'était fâchée tout rouge. 

Frédéric avait eu la chance d'être présent ce soir-la, et se souvenait encore de la scène. La maman avait regarde le bulletin, puis elle avait levé les yeux vers Carine et avait dit d'un ton cassant : "Qu'est-ce que c'est que ces notes ? Tu te moques de moi ?..." Carine était devant elle, avec encore sa grosse doudoune d'hiver, son bonnet de laine, son pantalon de ski moulant et ses bottes. Elle se tortillait d'un air gêné et a répondu d'une toute petite voix "Mais... non, maman..." La maman s'est alors levée et elle a demande a Carine d'ôter ses habits jusqu'a ce qu'elle soit en pull. Elle l'a alors attrapée par le bras, l'a attirée a elle et l'a courbée sous son bras. Frédéric n'en revenait pas : Carine allait être fessée devant lui !... Dommage, pas déculottée...

 Mais la fessée a été courte mais très forte. Carine a pousse de petits gémissements en se tortillant un peu et en essayant d'interposer sa main. Puis la maman a relâche Carine et lui annonce qu'au prochain bulletin, si les notes étaient aussi mauvaises, elle lui donnerait une nouvelle fessée, mais cette fois elle lui baisserait le pantalon, la culotte et la fessée serait donnée A CUL NU !!! Carine avait rougi terriblement, surtout lorsqu'elle avait aperçu la frimousse hilare de Frédéric, qui était toujours la et avait parfaitement entendu ce que la maman venait d'annoncer !...

 Frédéric en a frissonne de plaisir et du désir d'assister a ce spectacle !... Il s'était précipite vers Jean-Jacques pour lui annoncer la bonne nouvelle, et aujourd'hui, six mois plus tard, ils se dépêchaient de rentrer car c'était le jour ou Carine ramenait son bulletin scolaire a la maison. Et ils espéraient de tout leur coeur que Les notes seraient aussi mauvaises que la première fois... Surtout que Jean-Jacques avait fait, une fois n'est pas coutume, exprès de se lever plus tôt que sa soeur pour voir comment elle serait habillée... Et il n'avait pas été déçu !... 

Cette sotte de Carine s'était vêtue de sa petite robe plissée d'étudiante, celle qui se retroussait au moindre coup de vent en laissant apparaître la petite culotte, toujours blanche dans ces cas-la... C'était d'ailleurs un jeu, pour Jean-Jacques, que d'essayer d'apercevoir la culotte sous la jupette de sa soeur, lorsqu'elle était assise sur le grand canapé pour voir la télévision. Frédéric faisait semblant de ne pas s'intéresser a l'émission et prétextait son puzzle a faire a l'autre bout de la pièce pour se vautrer par terre et essayer de lorgner entre les cuisses de sa soeur ! "Sport" passionnant qui lui a déjà rapporte pas mal de jouissance, déjà a son age ! 

Cette fois, Jean-Jacques se pourléchait les babines, car non-seulement il allait voir la culotte, et gratuitement, sans avoir l'air de "voler" le spectacle, mais encore, on allait lui montrer ce qu'il y avait sous la culotte elle-même, ce qu'il rêvait de voir depuis si longtemps !!!

 Bref Les deux frères arrivaient a la maison. Immédiatement, ils se sont rendu compte que Carine n'était pas encore rentrée... Ca commence bien ! Elle aurait du arriver déjà quinze minutes avant eux, comme la maman l'avait demande. Et la maman n'était pas du tout contente. Frédéric et Jean-Jacques, eux étaient plutôt en avance, d'ailleurs même pas pour être a l'heure, mais parce qu'ils ne vivaient plus dans l'attente de cette fessée qui se profilait a l'horizon... 

Les résultats ne semblaient pas s'être améliores ces derniers mois, et la maman avait bien insiste, plusieurs fois, sur le risque que Carine prenait en ne se mettant pas au travail... Elle avait bel et bien rappelle, nommément, et même pas trois fois, la fessée a cul nu, et Carine baissait chaque fois les yeux, honteuse, mais elle avait l'air incapable de remonter ses résultats, surtout en maths. Frédéric et Jacques sont allés dans leur chambre, mais ils ont garde la porte légèrement entrouverte pour ne surtout pas rater l'arrivée de Carine. La tension montait et devenait presque palpable minutes après minutes... Et enfin Carine est arrivée, sept minutes après l'arrivée de Frédéric et Jean-Jacques, soit avec un retard de plus de vingt minutes !...

 La porte s'est ouverte tout doucement, et Carine a fait son apparition. Ne voyant personne, elle a tente de filer rapidement dans sa chambre, amis la porte du salon s'est ouverte et la maman est apparue : "Carine, eh ! Ho !... C'est a cette heure que tu rentres ?" Carine a sursaute et a répondu vite, trop vite même : "Euh oui... Ah, coucou maman ! J'ai voulu finir un exercice avec ma copine Martine, et c'est pour ça que je suis un peu en retard... Bon, je vais vite aller faire mes devoirs, maintenant..." Mais la maman s'empresse d'ajouter, avant que Carine ne prenne la direction de sa chambre, comme si elle avait le feu aux trousses : 

"Eh -la !... Pas si vite !... Je crois que tu as quelque chose a me montrer, non, ce soir ?..." Carine d'un ton faussement étonne "Euh, tu crois, maman ?..." C'est alors que Frédéric et Jean-Jacques ont ouvert la porte et se sont eux aussi avances ans le hall d'entrée. La maman a alors répondu a Carine : "Mais oui, ton bulletin scolaire. C'est aujourd'hui que tu l'as reçu, ne ment pas, je le sais. Alors tu vas gentiment me le montrer, et tu te rappelles ce que je t'ai promis, s'il était aussi mauvais qu'à Noël, n'est-ce pas ? On en a reparle plusieurs fois..." Et Carine, rouge comme une pivoine, n'a plus qu'une chose a faire, sortir le fameux bulletin de son sac et le tendre a sa mère, pendant que Frédéric glousse déjà de rire et que Jean-Jacques se sent des fourmillements d'excitations a l'idée de ce qui va suivre... Rien qu'a voir la tête de Carine, ils ont déjà compris ! La maman aussi, d'ailleurs, elle les regarde d'un air complice...

 Les choses s'accélèrent alors. Elle jette un coup d' oeil au bulletin, très rapide d'ailleurs, car elle sait trop bien ce qu'il y a a y lire... et elle regarde Carine droit dans les yeux, l'air soudain très fâchée. "Tu appelles ça des résultats meilleurs qu'à Noël ?" demande-t-elle très sèchement. Carine balbutie une réponse complètement incompréhensible pour tout le monde. La maman rétorque, plus fort "Je n'ai pas compris. Tu appelles ça un meilleur résultat ?" Carine répond, la voix rauque, étranglée par l'émotion "N... Non..." 

Alors la maman lui attrape le bras : "Tu te souviens de ce que je je t'avais annonce, si tes résultats ne s'amélioraient pas ?" Mais Carine se contente de balbutier "n... non..." Et la maman se fâche cette fois tout rouge : "Regarde-moi dans les yeux !!!" Carine lève les yeux. La maman repose une dernière fois la question : "Qu'est- ce que je t'avais annonce à Noël ?" Carine ne répond pas. La maman tourne alors vers Frédéric et lui demande : "Frédéric, toi, tu étais la, à Noël, quand j'ai donne cette fessée a Carine, tu dois te souvenir de ce que je lui ai annonce ?" Et Frédéric, presque gêne, mais en même temps ravi, s'empresse de répondre "Oui, maman, tu avais promis la fessée déculottée." La maman rétorque "Oui, c'est ça. 

Alors, Carine, tu te souviens maintenant ? Tu es d'accord, avec tes résultats, que tu l'as méritée, cette fessée ?..." Carine se met a pleurnicher "Oh, non, maman, je t'en prie, pas maintenant, pas devant Frederic et Jean-Jacques, pas a cul nul !... OH, pas cette honte...

 Pitié, maman..." Mais la maman en a assez et décide de passer a l'acte : "Bon, en voila assez, viens ici !... Cette fois je vais te baisser la culotte !... Et devant tes frères, en plus. Regarde, ils n'attendent que ça... Tu l'auras bien mérite, je crois que je t'ai assez prévenue..." Et, se penchant légèrement en avant, elle attrape Carine par la taille et force la pauvre fille a se pencher en avant, tellement que la base de la culotte apparaît déjà !... Frederic se met a pouffer de rire, avant même le déculottage, tandis que Jean-Jacques pousse un petit gémissement de plaisir... il sent son sexe qui se durcit dans son pantalon et prend le parti de s'asseoir et de croiser le jambes pour qu'on ne voie pas trop le trouble dans lequel il se trouve ...

Bizarrement, Carine ne cherche même pas a s'enfuir. Elle doit bien sentir que c'est inutile et que ça ne fera qu'aggraver la situation. Elle se contente d'essayer, un peu ridiculement, il est vrai, d'empêcher sa maman de lui baisser la culotte ! Mais ça ne sert a rien. La maman a saisi la culotte de sa main libre et la baisse d'un geste rapide, jusqu'au cuisses. Cette fois les fesses de Carine sont enfin a l'air libre et Frederic et Jean-Jacques peuvent les admirer dans toutes leur splendeur. Jean-Jacques sent comme une bouffée de bonheur très intense a cette vue... il faut dire que la position de Carine fait qu'il ne voit pas que les fesses de Carine, généreusement exposée a sa vue, mais, Carine étant très penchée en avant, ses fesses relâchée, on voit bien son petit trou du cul, et, comme elle et ne maîtrise plus tout a fait son équilibre, elle est obligée d'écarter légèrement les jambes et de laisser voir aussi sa petite vulve d'adolescente entre ses deux jambes !!! 

C'est délicieusement obscène et Jean-Jacques regarde de tous ces yeux en ne perdant pas une miette du spectacle. A part ça, la maman s'apprête a donner maintenant la fessée proprement dite... Carine se met a paniquer en poussant de petits cris "Non... non..." et en essayant encore maladroitement de cacher ses fesses avec ses mains, enfin... avec sa main libre, l'autre étant déjà coincée par le bras de la maman qui ceinture Carine très solidement. Frederic re-pouffe de rire, suivi par Jean-Jacques... La maman écarte brusquement la main qui gène et commence la fessée. 

Elle se met a accomplir ce fameux geste de la fessée qui consiste a lever le bras et a le rabaisser sur les fesses, régulièrement, le plus fort possible, pour produire ce son si caractéristique, un peu sec, et presque un peu métallique, ce bruit de la fessée qui se met a résonner dans le hall d'entrée. Et comme par enchantement, les fesses se mettent immédiatement a rougir et Carine se met, elle, a pousser de petits gémissements qui vont rapidement devenir des cris puis des hurlements... La douleur des claques doit être importante (Frederic et Jean-Jacques en savent quelque chose !...), puisque Carine - qui pourtant s'était jure de se maîtriser devant ses frères pour les priver d'une partie du spectacle qu'ils attendaient - se met a sautiller, lancer une jambe puis l'autre en l'air, puis se tortiller a droite a gauche, en perdant toute pudeur !... Frederic regarde, l'air goguenard, sa jeune soeur dans cette position honteuse qui a si souvent été la sienne par le passe, tandis que Jean-Jacques est bouche bée, les yeux exorbités, ne pouvant plus maîtriser le plaisir qui monte en lui, irrépressiblement, et qui va bientôt éclater sauvagement en une terrible éjaculation directement dans ses culottes !... 

Sa maman le voit, mais elle a la discrétion de faire semblant de ne rien remarquer.

D'ailleurs peu après ce petit évènement (c'est sa première éjaculation !...), Jean-Jacques se remet vite et redeviens un petit garçon qui peut alors se mettre a rire de bon coeur avec son frère du spectacle ridicule qu'offre sa soeur en ce moment terrible. Parce que c'est un spectacle digne des Folies-Bergeres !... La maman a pose un pied sur un pouf qui traînait la, par terre, comme s'il avait été pose la exprès en attente d'un fessée, et elle est complètement cassée en avant dans l'effort de maintenir Carine par la taille... elle claque les fesses de la pauvre Carine a tour de bras, essoufflée par l'effort fourni. 

Chaque claque fait rebondir les adorables petites fesses déjà bien roses de Carine, qui, elle, ne maîtrise plus rien de la situation !...

Elle agite la tête dans tous les sens et ses cheveux balaient l'air ; elle essaie désespérément d 'interposer sa main, mais la maman fait tout pour empêcher cette main de s'interposer, parfois en l'écartant du corps, ce qui a pour effet de tordre Carine et de l'obliger a montrer sa petite chatte, mais a d'autre moment, la maman remonte le bras dans le dos et cette fois ça oblige Carine a se pencher très fort en avant et a bien écarter ses fesses ... et a ce moment les fesses de Carine s'écartent (enfin, entre les monumentales claques qui les déforment complètement !) et le petit trou du cul, bien ouvert, apparaît, ainsi que la petite vulve qui est elle aussi largement ouverte !!! Carine passe d'une seconde a l'autre par toutes les positions possibles et imaginables (il faudrait la prendre en photos avec un de ces appareils qui prennent les photos "en rafales", comme on dit !...), parfois presque debout, et juste après complètement cassée en avant, la tête a ras le sol, les fesses écartées obscènes, ou alors elle se tourne presque de cote et les deux frères peuvent alors entrevoir le bas de son dos qui dévoile, juste au-dessus de sa culotte roulée aux cuisses, toute son intimité, avec sa très légère toison d'adolescente.

Au bout de quinze minutes de ce spectacle extraordinaire, la maman relâche la pauvre Carine, qui est maintenant en larmes. Elle a reçu quelque chose comme 1200 claques, ses fesses sont violettes par endroits, elle s'est mise a pleurer au bout de trois minutes et maintenant, lorsque la maman la relâche, elle en est a ne plus pouvoir maîtriser ses pleurs. Elle renifle a tout casser, s'étouffe dans ses sanglots, la bouche déformée par les pleurs, les cheveux complètement en désordre. Elle reste alors la, encore légèrement penchée en avant et se met a s'agripper les fesses en hurlant sa douleur et en pleurant des cris comme une toute petite fille !... mais sa maman lui hurle "File dans ta chambre et reste-y jusqu'a ce que je vienne t'en rechercher !!!"

Alors Carine part doucement, la culotte encore enroulée aux cuisses, en titubant, en se tenant toujours les fesses et les frères l'entendent qui continue de pleurer jusqu'a sa chambre. Ils n'osent plus trop rire, d'abord par compassion, mais aussi parce qu'ils sont maintenant inquiets de la réaction de leur mère par rapport a leur attitude pendant la fessée... Mais la maman les regarde d'un air tendre et leur fait comprendre, par son regard complice, qu'elle leur a offert ce spectacle et qu'ils ont eu raison d'en rire.

Elle ajoute toutefois, pour sauver l'honneur, a haute voix : "Voila, mais faites attention, vous deux, que ça ne vous arrive pas a vous aussi, si vos résultats finaux sont aussi mauvais !... Et Frederic et Jean-Jacques se dépêchent de retourner a leur chambre, encore tout émoustilles par ce qu'ils viennent devoir. Jamais ils n'oublieront ce spectacle, surtout pas Jean-Jacques qui continuera encore pendant des années a se masturber doucement, le soir dans son lit, en se repassant les images de sa soeur et de tout ce qu'elle a voulu (bien malgré elle, je vous l'accorde!) lui offrir en spectacle, de son intimité.

Frederic

retour haut de page

M.à.j. 21-06-2014

My Gode © 2002-2013

webmaster@mygode.com