Récits Fessées - FEMME/FEMME |
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Brigitte entra dans l'allée de sa propriété et arrêta sa Golf Cabriolet près de la porte du garage. A ses côtés, Isabelle admirait le magnifique jardin de sa voisine qui la ramenait de leur match de tennis. Isabelle travaillait dans l'enseignement et profitait de ses vacances d'été pour pratiquer le plus possible son sport favori avec sa voisine depuis trois mois. Yves, le mari d'Isabelle, travaillait pour une société internationale et était souvent absent. Bien que menant un train de vie aisé, celui-ci n'était pas comparable à celui de Brigitte et Marc. Ce dernier, directeur d'entreprise, permettait à sa femme, grande et belle femme blonde de 40 ans, de ne plus travailler et de passer le plus clair de son temps dans sa propriété. Isabelle, jolie brunette aux charmes un peu plus ronds, venait de fêter ses 33 ans et admirait en secret le corps svelte et athlétique de Brigitte en qui elle avait découvert une parfaite partenaire de tennis.
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LA
FESSÉE DE CARINE, DEVANT SES DEUX FRÈRES ! La maman a d'ailleurs une méthode, plutôt ancienne, mais qui a fait ses preuves depuis des décennies, la fessée. Et croyez-moi, elle sait y faire, en graduant la sévérité des châtiments en fonction des fautes commises et des répétitions de fautes... Dans les cas graves, elle baisse carrément les culottes et fesse directement sur le derrière nu, et en général devant le frère et la soeur qui voient tout et ne se privent pas de rire pour la plus grande honte de celui qui se fait ainsi punir !... En général, donc, c'est surtout Frédéric et Jean-Jacques qui se font punir, car Carine, leur grande soeur, est plutôt sage et ne donne pas lieu à de grosses punitions. C'est une gentille et jolie adolescente, cheveux châtain clair, mi-longs, raides, avec un joli petit visage mutin, un peu à la manière de l'actrice Sophie Marceau telle qu'elle était a l'époque de son fameux film "La Boum" ...En tout cas, au moment ou commence notre histoire, ni Frédéric ni Jean-Jacques n'avaient vraiment eu une quelconque occasion de voir vraiment leur grande soeur déculottée devant eux pour la fessée, en tout cas pas depuis bien longtemps, au moins 8 ans. Et ça leur manquait terriblement ! En plus ils faisaient chambre séparée, les garçons dans une chambre et Carine dans une autre chambre, et les occasion de voir leur grande soeur toute nue, ou même d'apercevoir simplement sa chatte, étaient extrêmement rares... Mais aujourd'hui, en ce fameux jour de juillet, leur attente allait enfin être satisfaite. Carine ramenait son bulletin scolaire et, pour la seconde fois en six mois, il était désastreux. Il faut dire que Carine était vraiment tombée amoureuse cette année-la, et les questions scolaires ne l'intéressaient plus vraiment... Au premier bulletin, à Noël, elle avait ramené des notes catastrophiques et sa maman s'était fâchée tout rouge. Frédéric avait eu la chance d'être présent ce soir-la, et se souvenait encore de la scène. La maman avait regarde le bulletin, puis elle avait levé les yeux vers Carine et avait dit d'un ton cassant : "Qu'est-ce que c'est que ces notes ? Tu te moques de moi ?..." Carine était devant elle, avec encore sa grosse doudoune d'hiver, son bonnet de laine, son pantalon de ski moulant et ses bottes. Elle se tortillait d'un air gêné et a répondu d'une toute petite voix "Mais... non, maman..." La maman s'est alors levée et elle a demande a Carine d'ôter ses habits jusqu'a ce qu'elle soit en pull. Elle l'a alors attrapée par le bras, l'a attirée a elle et l'a courbée sous son bras. Frédéric n'en revenait pas : Carine allait être fessée devant lui !... Dommage, pas déculottée... Mais la fessée a été courte mais très forte. Carine a pousse de petits gémissements en se tortillant un peu et en essayant d'interposer sa main. Puis la maman a relâche Carine et lui annonce qu'au prochain bulletin, si les notes étaient aussi mauvaises, elle lui donnerait une nouvelle fessée, mais cette fois elle lui baisserait le pantalon, la culotte et la fessée serait donnée A CUL NU !!! Carine avait rougi terriblement, surtout lorsqu'elle avait aperçu la frimousse hilare de Frédéric, qui était toujours la et avait parfaitement entendu ce que la maman venait d'annoncer !... Frédéric en a frissonne de plaisir et du désir d'assister a ce spectacle !... Il s'était précipite vers Jean-Jacques pour lui annoncer la bonne nouvelle, et aujourd'hui, six mois plus tard, ils se dépêchaient de rentrer car c'était le jour ou Carine ramenait son bulletin scolaire a la maison. Et ils espéraient de tout leur coeur que Les notes seraient aussi mauvaises que la première fois... Surtout que Jean-Jacques avait fait, une fois n'est pas coutume, exprès de se lever plus tôt que sa soeur pour voir comment elle serait habillée... Et il n'avait pas été déçu !... Cette sotte de Carine s'était vêtue de sa petite robe plissée d'étudiante, celle qui se retroussait au moindre coup de vent en laissant apparaître la petite culotte, toujours blanche dans ces cas-la... C'était d'ailleurs un jeu, pour Jean-Jacques, que d'essayer d'apercevoir la culotte sous la jupette de sa soeur, lorsqu'elle était assise sur le grand canapé pour voir la télévision. Frédéric faisait semblant de ne pas s'intéresser a l'émission et prétextait son puzzle a faire a l'autre bout de la pièce pour se vautrer par terre et essayer de lorgner entre les cuisses de sa soeur ! "Sport" passionnant qui lui a déjà rapporte pas mal de jouissance, déjà a son age ! Cette fois, Jean-Jacques se
pourléchait les
babines, car non-seulement il allait voir la culotte, et gratuitement, sans avoir l'air de "voler" le spectacle, mais
encore, on allait lui montrer ce qu'il y avait sous la culotte elle-même, ce qu'il
rêvait de voir depuis si longtemps !!! Les résultats ne semblaient pas s'être
améliores ces derniers mois, et la
maman avait bien insiste, plusieurs fois, sur le risque que Carine prenait en ne se mettant pas au travail... Elle avait bel
et bien rappelle, nommément, et même pas trois fois, la fessée a cul nu, et Carine baissait chaque fois les yeux,
honteuse, mais elle avait l'air incapable de remonter ses résultats, surtout en maths.
Frédéric et Jacques sont allés
dans leur chambre, mais ils ont garde la porte légèrement entrouverte pour ne surtout pas rater l'arrivée de Carine.
La tension montait et devenait presque palpable minutes après minutes... Et enfin Carine est
arrivée, sept minutes après l'arrivée de Frédéric et Jean-Jacques, soit avec un retard de plus de vingt minutes !... "Eh -la !... Pas si vite !... Je crois que tu as quelque chose a me montrer, non, ce soir ?..." Carine
d'un ton faussement étonne "Euh, tu crois, maman ?..." C'est alors que Frédéric
et Jean-Jacques ont ouvert la porte et se
sont eux aussi avances ans le hall d'entrée. La maman a alors répondu a Carine : "Mais oui, ton bulletin scolaire. C'est
aujourd'hui que tu l'as reçu, ne ment pas, je le sais. Alors tu vas gentiment me le montrer, et tu te rappelles ce que je
t'ai promis, s'il était aussi mauvais qu'à Noël, n'est-ce pas ? On en a reparle plusieurs fois..." Et Carine, rouge comme une
pivoine, n'a plus qu'une chose a faire, sortir le fameux bulletin de son sac et le tendre a sa
mère, pendant que Frédéric glousse déjà de rire et que Jean-Jacques se sent des fourmillements d'excitations a l'idée de ce qui va suivre...
Rien qu'a voir la tête de Carine, ils ont déjà compris ! La maman aussi, d'ailleurs, elle les regarde d'un air complice... Alors la maman lui attrape le bras : "Tu te souviens de ce que je je t'avais annonce, si tes résultats ne s'amélioraient pas ?" Mais Carine se contente de balbutier "n... non..." Et la maman se fâche cette fois tout rouge : "Regarde-moi dans les yeux !!!" Carine lève les yeux. La maman repose une dernière fois la question : "Qu'est- ce que je t'avais annonce à Noël ?" Carine ne répond pas. La maman tourne alors vers Frédéric et lui demande : "Frédéric, toi, tu étais la, à Noël, quand j'ai donne cette fessée a Carine, tu dois te souvenir de ce que je lui ai annonce ?" Et Frédéric, presque gêne, mais en même temps ravi, s'empresse de répondre "Oui, maman, tu avais promis la fessée déculottée." La maman rétorque "Oui, c'est ça. Alors, Carine, tu te souviens maintenant ? Tu es d'accord, avec tes résultats, que tu l'as méritée, cette fessée ?..." Carine se met a pleurnicher "Oh, non, maman, je t'en prie, pas maintenant, pas devant Frederic et Jean-Jacques, pas a cul nul !... OH, pas cette honte... Pitié, maman..." Mais la maman en a assez et décide de passer a l'acte : "Bon, en voila assez, viens ici !... Cette fois je vais te baisser la culotte !... Et devant tes frères, en plus. Regarde, ils n'attendent que ça... Tu l'auras bien mérite, je crois que je t'ai assez prévenue..." Et, se penchant légèrement en avant, elle attrape Carine par la taille et force la pauvre fille a se pencher en avant, tellement que la base de la culotte apparaît déjà !... Frederic se met a pouffer de rire, avant même le déculottage, tandis que Jean-Jacques pousse un petit gémissement de plaisir... il sent son sexe qui se durcit dans son pantalon et prend le parti de s'asseoir et de croiser le jambes pour qu'on ne voie pas trop le trouble dans lequel il se trouve ... Bizarrement, Carine ne cherche même pas a s'enfuir. Elle doit bien sentir que c'est inutile et que ça ne fera qu'aggraver la situation. Elle se contente d'essayer, un peu ridiculement, il est vrai, d'empêcher sa maman de lui baisser la culotte ! Mais ça ne sert a rien. La maman a saisi la culotte de sa main libre et la baisse d'un geste rapide, jusqu'au cuisses. Cette fois les fesses de Carine sont enfin a l'air libre et Frederic et Jean-Jacques peuvent les admirer dans toutes leur splendeur. Jean-Jacques sent comme une bouffée de bonheur très intense a cette vue... il faut dire que la position de Carine fait qu'il ne voit pas que les fesses de Carine, généreusement exposée a sa vue, mais, Carine étant très penchée en avant, ses fesses relâchée, on voit bien son petit trou du cul, et, comme elle et ne maîtrise plus tout a fait son équilibre, elle est obligée d'écarter légèrement les jambes et de laisser voir aussi sa petite vulve d'adolescente entre ses deux jambes !!! C'est délicieusement obscène et Jean-Jacques regarde de tous ces yeux en ne perdant pas une miette du spectacle. A part ça, la maman s'apprête a donner maintenant la fessée proprement dite... Carine se met a paniquer en poussant de petits cris "Non... non..." et en essayant encore maladroitement de cacher ses fesses avec ses mains, enfin... avec sa main libre, l'autre étant déjà coincée par le bras de la maman qui ceinture Carine très solidement. Frederic re-pouffe de rire, suivi par Jean-Jacques... La maman écarte brusquement la main qui gène et commence la fessée. Elle se met a accomplir ce fameux geste de la fessée qui consiste a lever le bras et a le rabaisser sur les fesses, régulièrement, le plus fort possible, pour produire ce son si caractéristique, un peu sec, et presque un peu métallique, ce bruit de la fessée qui se met a résonner dans le hall d'entrée. Et comme par enchantement, les fesses se mettent immédiatement a rougir et Carine se met, elle, a pousser de petits gémissements qui vont rapidement devenir des cris puis des hurlements... La douleur des claques doit être importante (Frederic et Jean-Jacques en savent quelque chose !...), puisque Carine - qui pourtant s'était jure de se maîtriser devant ses frères pour les priver d'une partie du spectacle qu'ils attendaient - se met a sautiller, lancer une jambe puis l'autre en l'air, puis se tortiller a droite a gauche, en perdant toute pudeur !... Frederic regarde, l'air goguenard, sa jeune soeur dans cette position honteuse qui a si souvent été la sienne par le passe, tandis que Jean-Jacques est bouche bée, les yeux exorbités, ne pouvant plus maîtriser le plaisir qui monte en lui, irrépressiblement, et qui va bientôt éclater sauvagement en une terrible éjaculation directement dans ses culottes !... Sa maman le voit, mais elle a la discrétion de faire semblant de ne rien remarquer. D'ailleurs peu après ce petit évènement (c'est sa première éjaculation !...), Jean-Jacques se remet vite et redeviens un petit garçon qui peut alors se mettre a rire de bon coeur avec son frère du spectacle ridicule qu'offre sa soeur en ce moment terrible. Parce que c'est un spectacle digne des Folies-Bergeres !... La maman a pose un pied sur un pouf qui traînait la, par terre, comme s'il avait été pose la exprès en attente d'un fessée, et elle est complètement cassée en avant dans l'effort de maintenir Carine par la taille... elle claque les fesses de la pauvre Carine a tour de bras, essoufflée par l'effort fourni. Chaque claque fait rebondir les adorables petites fesses déjà bien roses de Carine, qui, elle, ne maîtrise plus rien de la situation !... Elle agite la tête dans tous les sens et ses cheveux balaient l'air ; elle essaie désespérément d 'interposer sa main, mais la maman fait tout pour empêcher cette main de s'interposer, parfois en l'écartant du corps, ce qui a pour effet de tordre Carine et de l'obliger a montrer sa petite chatte, mais a d'autre moment, la maman remonte le bras dans le dos et cette fois ça oblige Carine a se pencher très fort en avant et a bien écarter ses fesses ... et a ce moment les fesses de Carine s'écartent (enfin, entre les monumentales claques qui les déforment complètement !) et le petit trou du cul, bien ouvert, apparaît, ainsi que la petite vulve qui est elle aussi largement ouverte !!! Carine passe d'une seconde a l'autre par toutes les positions possibles et imaginables (il faudrait la prendre en photos avec un de ces appareils qui prennent les photos "en rafales", comme on dit !...), parfois presque debout, et juste après complètement cassée en avant, la tête a ras le sol, les fesses écartées obscènes, ou alors elle se tourne presque de cote et les deux frères peuvent alors entrevoir le bas de son dos qui dévoile, juste au-dessus de sa culotte roulée aux cuisses, toute son intimité, avec sa très légère toison d'adolescente. Au bout de quinze minutes de ce spectacle extraordinaire, la maman relâche la pauvre Carine, qui est maintenant en larmes. Elle a reçu quelque chose comme 1200 claques, ses fesses sont violettes par endroits, elle s'est mise a pleurer au bout de trois minutes et maintenant, lorsque la maman la relâche, elle en est a ne plus pouvoir maîtriser ses pleurs. Elle renifle a tout casser, s'étouffe dans ses sanglots, la bouche déformée par les pleurs, les cheveux complètement en désordre. Elle reste alors la, encore légèrement penchée en avant et se met a s'agripper les fesses en hurlant sa douleur et en pleurant des cris comme une toute petite fille !... mais sa maman lui hurle "File dans ta chambre et reste-y jusqu'a ce que je vienne t'en rechercher !!!" Alors Carine part doucement, la culotte encore enroulée aux cuisses, en titubant, en se tenant toujours les fesses et les frères l'entendent qui continue de pleurer jusqu'a sa chambre. Ils n'osent plus trop rire, d'abord par compassion, mais aussi parce qu'ils sont maintenant inquiets de la réaction de leur mère par rapport a leur attitude pendant la fessée... Mais la maman les regarde d'un air tendre et leur fait comprendre, par son regard complice, qu'elle leur a offert ce spectacle et qu'ils ont eu raison d'en rire. Elle ajoute toutefois, pour sauver l'honneur, a haute voix : "Voila, mais
faites attention, vous deux, que ça ne vous arrive pas a vous aussi, si vos
résultats finaux sont aussi mauvais !... Et Frederic et Jean-Jacques
se dépêchent de retourner a leur chambre, encore tout émoustilles par ce qu'ils viennent devoir.
Jamais ils n'oublieront ce spectacle, surtout pas
Jean-Jacques qui continuera encore pendant des années a se masturber doucement, le
soir dans son lit, en se repassant les images de sa soeur et de tout ce qu'elle a voulu (bien
malgré elle, je vous l'accorde!) lui offrir
en spectacle, de son intimité. |
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M.à.j. 21-06-2014 |