Récits Fessées - HOMME/FEMME

Une cuisante soirée

La fessée de Léna

Régina et le martinet

Théodora et le martinet

Une cuisante soirée

 Autant l'avouer, cette sortie ne m'enchantait pas vraiment et si je m'étais écouté, je crois que je serais restée tranquillement devant ma télé. Mais bon, faut bien faire plaisir aux amis de temps en temps et comme en l'occurrence c'était en plus l'anniversaire de mon "grand" cousin, j'aurais été mal-polie de refuser l'invitation. Me voilà donc partie pour ce qui s'annonçait comme la soirée la plus chiante de l'année, car pour situer les choses je suis invitée à un repas par mon cousin et son amie où sera présent un couple que je ne connais pas et le meilleur pote de mon cousin, David, qui, manque de chance, est plutôt moche. Ca encore ne serait pas très grave et n'empêcherait pas de bien s'amuser mais ils sont tous de jeunes fonctionnaires du trésor public, donc autant dire de joyeux lurons ! C'est sùr que je risque de dépareiller avec mes 10 ans de moins qu'eux et mon job de barmaid, mais.. bon.
 Déjà 19 h, j'ai dis que j'irais donc j'y vais. Plus qu'à m'habiller et quitte à passer une soirée chiante, autant s'habiller sexy, si je peux faire saliver cet abruti de David. C'est décidé, je mets ma dernière trouvaille, une petite robe en voile noire transparent et dessous la simplicité, un simple string en coton noir. Mes talons, mon sac et en route, déjà 20 h, l'heure où je devais arriver normalement. 22 h !!! Pff, soirée trop chiante, David me bave dessus depuis 1 h 30 que je suis là , mon cousin et sa copine passent leur temps à s'embrasser et l'autre couple n'est pas venu. Ou plutôt si, mais que Marco, la moitié masculine, coup de chance, le type s'est fait larguer depuis peu et lui est à mon goût. N'empêche que la soirée est molle et les discussions sur la déclaration de revenus, pas passionnantes.   Heureusement, il reste le vin, que j'ai par ailleurs abandonné depuis un moment pour la tequila ! 23 h, super !
 Voilà une heure qu'on joue au poker et on commence à s'amuser. Surtout que j'adore gagner et que ce n'est pas prêt de s'arrêter étant donné que je triche encore mieux que je joue ! J'en profite pour charrier un peu Marco et David, c'est vrai quoi, on n'a pas idée d'être aussi nuls pour des mecs ! 23 h 30, encore gagné ! Un vrai plaisir ce jeu, les mecs enragent et ma confiance en moi augmente en même temps que mon taux d'alcoolémie. 23 h 40.

- Tu as eu tort de tricher Alexia, si tu croyais que je n'avais pas vu ton manège tu rêvais.

Quoi ? Bon apparemment mon taux d'alcoolémie doit avoir atteint des sommets ! Je triche depuis mon plus jeune âge et je ne me suis jamais fais prendre...

- Franchement Marco, pourquoi je tricherais ?! T'es tellement nul que je pourrais te battre les yeux fermés.

- Tu refuses de l'avouer ? Alors expliques-nous ça !

 Et le voilà qui prouve la présence de 5 as dans le jeu. Bon je suis mal barrée mais nier m'a toujours porté chance et au pire j'accuserais quelqu'un d'autre, pourquoi ce serait moi? Le voilà qui regarde mon cousin comme s'il voulait sa bénédiction...

- Jean, tu sais comment je règle les problèmes d'habitude, comme c'est ta cousine et encore une gamine je te demande l'autorisation.

-Moi une gamine ! J'ai quand même 22 ans, crétin !

 Là je n'aurais pas dû, j'ai jamais vu quelqu'un devenir rouge comme ça. 

 Et mon cousin qui lance un "accordé, mais nous on vous laisse" avec un sourire narquois avant de s'enfuir avec sa copine. Je rêve ! Mais avant que j'aie eu le temps de me lever pour partir, cet abruti de David est derrière moi et me maintient fermement assise. Bon il est peut être moche mais il a 10 ans de karaté derrière lui.

- Lâches-moi je veux partir ! Hé Marco ! Tu n'as pas le droit ! Reposes mon sac !

 Mais non, ce serait trop facile ! Il vide mon sac sur la table et découvre les autres cartes cachées à l'intérieur ! Bon plus la peine d'essayer de nier. Et cet imbécile de David qui me glisse à l'oreille "ça va être ta fête". C'est la meilleure celle-là , je ne me suis jamais laissée faire, c'est pas aujourd'hui que ça va commencer ! 23 h 50. Bon changement de stratégie. Je commence à avoir un petit peu mal au ventre devant les allures de procès que prend la soirée. 

- Bon écoutez, je m'excuse. J'avoue, j'ai triché un peu sur la fin mais c'est pas dramatique.

- Alors là non ! Tu ne vas pas t'en tirer comme ça Alex ! me lance David qui me tient toujours.

- Déjà, des excuses ne se font pas sur un ton impertinent comme le tien et en plus tu mérites d'être punie pour le reste de ton comportement de ce soir, me dit Marco. 

- Franchement je ne vois pas de quoi tu parles.

- On avance, tu n'es déjà pas opposée au principe d'une punition, mais j'attends que tu me la demandes toi-même en détaillant bien les fautes qui sont les tiennes.

- Là tu peux toujours attendre, et d'abord je n'ai rien à me reprocher !

 Clac ! Merde, ben celle là je m'y attendais pas. Je crois bien que j'aie la joue aussi rouge que les rideaux. Pas vraiment la douleur, mais l'humiliation.

- J'attends ! lance t-il. Et si t'en veux pas une autre dépêche toi, j'ai pas toute la nuit !

- Et d'abord, tu veux dire quoi par punition ?

 Clac ! Et zut, toujours la même joue, ça va finir par faire mal ces conneries. Bon il veut juste me donner une leçon, autant avouer et m'en tirer avec une ou deux petites claques comme ça. Allez, je me lance avec mon ton le plus soumis possible : 

- Marco, je m'excuse et je te demande de me punir pour avoir triché aux cartes et m'être moquée de toi, Aàïe ! 

 David, que j'avais oublié me tire les cheveux en toussotant légèrement. 

- J'ai compris. David je te présente aussi mes excuses.

- Je crois que tu oublies quelque chose. J'ai dis TOUTES les fautes de la soirée, me rappelle Marco. Hum intransigeant.

 Décidément ce mec me plait de plus en plus.

- Je m'excuse également de t'avoir insultée, mais demandes lui de lâcher mes cheveux s'il te plait.

- Vu que tu ne fais pas d'effort, je double la punition que j'avais prévu. Je crois que tu as oublié la demi-heure de retard et ton comportement d'allumeuse avec David, non ?

- Oui, peut être !

- Je n'ai rien compris, parles clairement.

- Je m'excuse pour mon retard et mon comportement, ça va comme ça ?

 Ouf, David me lâche enfin et va se mettre en face de moi avec Marco. 00 h 10.

- Bon ! C'était dur mais on y est presque. Comme tu t'es comportée comme une gamine, on va te punir comme telle. Tu sais comment non ? me demande t-il avec le sourire. ?

 Silence. Ca je le dirais jamais, je me suis déjà assez humiliée pour ce soir et j'avais pas prévu qu'il voudrait vraiment me punir.

- Je suis sûr que tu as une petite idée ?

Silence.

- On attend Alexia !

 C'est pas vrai ce mec, il est encore plus têtu que moi. 00 h 30. C'est pas vrai, ils vont pas passer toute la nuit à attendre comme ça quand même, j'ai envie de rentrer moi !

- Une fessée !?

- On n'a pas entendu. Parles plus fort et demandes-le moi clairement !

 Bon je me lance, c'est qu'un mauvais moment à passer :

- S'il te plait Marco, veux me donner la fessée que je mérite.

- Bien. Avec plaisir. Tu vois c'était pas si dur de demander !

 Et avant que j'aie eu le temps de dire ouf, je me retrouve couchée sur ses genoux, ma robe relevée et le string baissé. Une pluie de claques s'abat sur mes fesses. Ce type est fou, c'est tout ce que j'arrive à penser. Et il continue, maintenant je ne peux plus penser grand chose tellement j'ai les fesses qui me brûlent, même pas que David est en train de me regarder. Enfin il arrête, me relève. Seigneur que j'ai honte. En plus il ne dit rien, je suis sensée faire quoi maintenant. Ca fait mal, ça doit être fini mais pourtant je n'ose pas me rhabiller. 

- Tu ne penses pas que c'est fini quand même, me lance-t-il.

 Je secoue la tête pour dire non, mais je pensais plutôt oui. Il se lève et David prend sa place sur la chaise. Non ! C'est pas possible, ça fait des mois que je me moque de lui, il va me tuer. J'ai beau implorer Marco du regard, rien à faire, il me pousse gentiment vers mon supplice.

- Depuis le temps que tu me cherches, je vais faire en sorte que tu ne puisses plus t'asseoir pendant quelques jours, me dit David en me basculant sur ces genoux.

 La première claque tombe, puis la seconde et ça continue. Plus lentement que Marco mais il a de la force et c'est s'en servir. Il s'arrête deux minutes le temps de me demander d'arrêter de bouger si je ne veux pas que ce soit pire et reprend la fessée encore plus fort. Je sens les larmes me monter aux yeux, mais je serre les dents. Hors de question que je pleure à cause de lui. Enfin il s'arrête, je n'en peux plus, je reste tétanisée dans ma douleur à attendre je ne sais pas quoi. Marco s'accroupit prêt de moi pour me parler :

- Tu vas bien m'écouter et faire ce que je te dis sans discuter si tu ne veux pas que je laisse David s'occuper de toi jusqu'à demain matin, compris ?

 J'ai à peine le temps de faire un signe un signe de tête qu'il reprend :

- Tu vas te lever, nous remercier et ensuite aller te mettre à genoux au coin, les mains sur la tête.

 Je m'exécute, essayant de remercier en conservant ce qu'il me reste de dignité et je rejoins le coin. 1 h 30. Déjà une demi-heure que j'attends à genoux. Mon cousin et sa copine sont revenus prendre le dessert, j'ai cru mourir de honte, surtout qu'ils ne se sont pas privés pour faire des réflexions sachant que j'oserais sûrement rien répondre. Finalement, ils remontent à l'étage regarder la télé et me laissent de nouveau avec mes deux tortionnaires.

- Bon il est temps d'en finir, annonce Marco. On a bien réfléchit, tu as été suffisamment punie pour ton retard, la triche et ton comportement mais les insultes doivent être punies sévèrement, surtout que Jean nous a dis que tu étais souvent mal-polie.

- Notre décision, reprend David, est de te donner 25 coups de ceinture chacun, mais tu es libre de refuser et de partir. Si tu acceptes, tu ne pourras plus revenir en arrière. Alors ?

- J'accepte, je le mérite !

 Je dois être folle. Ou complètement ivre. Pourquoi j'ai dis ça ! Je tiendrais jamais, j'ai encore les fesses brûlantes de la fessée et eux qui n'ont même pas l'air étonnés que je dise oui.

- Bien, je commence, dis David en enlevant sa ceinture. Mets toi nue et viens là !

 Il me désigna la table en me demandant de poser les mains bien à plat dessus et de me pencher un peu en avant.

- Tu comptes les coups bien sûr. Tu es prête ?

- Oui !

 J'ai la voix qui tremble en répondant, je meure de trouille. J'imagine son bras qui se lève, j'entends le souffle de la ceinture dans l'air et tout à coup la brûlure du cuir sur ma peau. Je ne peux retenir un gémissement. J'attendais le coup sur mes fesses mais il a frappé méchamment le dos. J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu'un nouveau coup vient marquer mon dos.

- Tant que tu ne comptes pas, ça reste à zéro, me lance-t-il.

 J'articule faiblement "un" et attends le suivant, me promettant de compter plus vite.

- 25 !

 C'est plus un sanglot qu'un mot mais c'est enfin fini. Je ne sais plus à partir de quand je me suis mise à le supplier et à pleurer mais mon corps est couvert de marque du haut du dos jusqu'au bas des cuisses. J'ai l'impression qu'on m'a versé de l'eau bouillante dessus tellement ça brûle. Je tiens à peine debout et j'accepte avec plaisir le verre que Marco me tend, mais je tremble en croisant son regard et en pensant à ce qui va suivre.

- Je vais être clément, je te laisse une demi-heure pour te reposer et prendre une douche froide si tu veux, me dit-il en me poussant vers la salle de bains. 2 h 15. Merveilleuse douche. J'ai bien pensé à essayer de m'enfuir par la fenêtre mais c'est à peine si j'arrive à faire un pas. Bon après tout, le pire est derrière moi. En arrivant au salon, je me rends compte que David est parti et que Marco a déplié le canapé lit. Je me mets à rêver d'une fin de soirée plus calme, mais il brise tous mes espoirs en s'avançant vers moi sa ceinture à la main.

- Allonges toi sur le ventre, m'ordonne-t-il en désignant le lit de la main. Tu as déjà été très sévèrement punie mais je ne peux pas t'épargner pour autant, surtout que je ne tolère pas la façon dont tu m'as parlé. Cependant, je te dispense de compter.

 A peine a-t-il fini de dire ça que le premier coup s'abat sur mes pauvres fesses déjà durement traitées ce soir. Je ne sais pas combien de coups j'ai reçu quand il m'ordonne sèchement de me retourner sur le dos et de mettre mes bras derrière la tête. Le coup tombe en travers de mes seins et mes larmes retenues jusqu'à maintenant s'échappent tandis que je me replis en boule en le suppliant de m'épargner.

- Remets-toi en position. Tu as accepté, tu ne peux plus revenir en arrière !

 Je ne sais pas combien il en reste à supporter mais je me replace comme il le souhaite. Il me regarde mais ne frappe pas. Il attend que je me détende et ferme les yeux pour faire s'abattre sa ceinture une deuxième fois sur mes seins. La fin se passe dans une espèce de brouillard. Les coups qui tombent, mes seins, mon ventre et mes cuisses qui se couvrent de zébrures rouges pendant que je bredouille faiblement des pardons sanglotants en espérant qu'il arrête enfin.  Finalement il remet sa ceinture, sèche mes larmes, pose une couverture sur moi et m'embrasse tendrement.

 Je l'entends sortir de la pièce et pense que je n'ai même pas eu la force de le remercier de ne pas m'avoir épargnée. Puis je sombre dans un sommeil réparateur d'où mon cousin me tirera le lendemain après midi. Après m'avoir raccompagnée à ma voiture, et alors que je suis en train de me demander si je ne suis pas tombée follement amoureuse de Marco, mon cousin me tend une lettre avec un égnimatique "bon courage". Arrivée chez moi, j'ouvre la lettre et lis ceci :

 "Chère Alexia, On t'avait dit qu'on doublait la punition prévue. Ne t'inquiète pas, nous n'avons pas oublié et passerons chez toi demain soir pour le double de ta punition. Affectueusement Marco"

 Déjà mon coeur s'est mis à battre un peu plus fort et la peur mais également l'impatience se sont emparées de moi.

 Vanessa. 

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clara.mendoza@caramail.com

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La fessée de Lena

 Mardi soir, 21h. Je viens de terminer mon entraînement. La douche bienfaisante a décontracte mon corps réveille par l'effort. J'ai rendez-vous avec Lena, une jeune étudiante étrangère, qui habite dans la même ville que moi, et que j'ai rencontrée il y a quelques semaines. Depuis peu, nous avons découvert que nous avions une passion commune pour les jeux de domination/soumission. Nous n'avions pas aborde le sujet au début de notre relation, mais un jour, alors que nous feuilletions ensemble une revue masculine, nous sommes tombes en arrêt devant un article encourageant les couples a vivre leurs fantasmes…et parmi les fantasmes décrits, un superbe article sur la fessée érotique nous plongea tous deux dans un trouble tel que nous fumes encourages a partager notre passion pour ce merveilleux jeu sexuel. Lena m'avoua qu'elle avait toujours aime la fessée, mais n'avait jamais trouve de partenaire intéressé. Cette discussion me troubla beaucoup et nous décidâmes de passer a l'acte le mardi suivant… Lena est une jeune fille de 25 ans, qui vit seule avec sa petite fille. De taille moyenne, blonde, cheveux courts, mince, mais avec des fesses magnifiquement rebondies que j'avais eu l'occasion d'admirer et de ne caresser que sagement jusque la… Me voilà donc a sa porte, cherchant son nom sur l'Interphone. Dans mon sac, un martinet, est dissimule dans une poche latérale. Le déclic retentit, je pousse la porte et marche jusqu'à son appartement. Lena m'accueille avec un grand sourire et nous échangeons un baiser fougueux sur le seuil. J'enlace Lena et ma main descend sur sa robe, pour flatter ses fesses presque offertes sous le mince tissu. J'entre, nous prenons place sur le canapé de son salon, et Lena nous sert deux whiskies. L'alcool nous réchauffe agréablement et nous libère de nos dernières craintes. La conversation continue, sympathique, mais sans que "le" sujet ne soit aborde. Au bout de quelques minutes, l'envie de voir ses jolies fesses se trémousser sous mes yeux me tenaille tellement que je décide de passer a l'action. "Dis donc, Lena, tu as bien tarde a m'envoyer ton message de confirmation pour cette soirée !" dis-je d'un ton ferme et soudain sérieux. "Ce genre de retard est inacceptable et mérite une punition! Cela t'apprendra a être plus attentive a l'avenir. Lève-toi et viens t'allonger sur mes genoux!" Lena baisse la tète, et docilement, s'allonge en travers de mes genoux, allongée sur le canapé. Je rectifie sa position, afin d'avoir ses fesses bien présentées, ma main gauche pesant sur sa taille. De la main droite, je commence a caresser ses fesses qui gonflent agréablement la petite robe légère. Sous la caresse, je sens Lena frémir, et le trouble monter en moi. Je lui annonce qu'elle va recevoir une bonne fessée pour lui apprendre les bonnes manières. Elle répond "oui" d'une petite voix étouffée. Je commence alors la fessée, en claquant chaque fesse alternativement, d'abord doucement puis rapidement assez fort, sachant que le tissu amortit pour l'instant l'effet cuisant des claques. Lena ne dit rien, mais contracte ses fesses a chaque claque et soulève son postérieur a chaque fois, l'offrant a la fessée qui a maintenant atteint un rythme plus soutenu. Au bout de quelques minute, n'y tenant plus, je cesse la fessée, caresse les fesses qui ondulent, et relève lentement la robe jusque sur ses reins. Je découvre un charmant petit string, noyé dans la fente profonde, au milieu de deux globes qui ont commence a rosir…J'eus préféré une petite culotte mais le retrait du string de la raie de Lena s'avère très excitant. L'érection que j'ai eue des le début devient très dure, a la limite de la douleur. Lena sent mon sexe dresse contre son ventre, et s'y frotte délicatement. "je vais t'apprendre, petite cochonne !" " tu vas voir comment je châtie les petites catins comme toi!" Et la fessée reprend de plus belle, avec cette fois le bruit clair des claques qui tombent sur les fesses qui rougissent, la vision de ce cul qui danse impudiquement sous mes yeux charmes, et Lena qui gémit de plus en plus, tout en présentant de plus en plus docilement ses fesses a la correction. Au bout de quelques minutes, j'interromps la danse des fesses et dit d'un ton très sévère: "relève-toi ! debout, mains sur la tête !" Lena obéit, et je peux voir son visage rougi par l'émotion. "Tu as mérité un châtiment plus sévère !" "Prends ce qui est dans la poche latérale de ce sac et amène-le moi! Et vite!" Lena se dirige vers le sac, se penche, m'offrant la vue divine de son cul rougi et écarté, dévoilant Une partie de son intimité. Elle ouvre le sac, et je la vois frémir. Elle s'empare du martinet, et revient, tremblante, tète baissée. Elle me tend l'instrument de correction. Je m'en empare et caresse les lanières de cuir… "tu vas recevoir le fouet ! mais pas dans cette tenue. Déshabille-toi entièrement, je te veux nue pour le fouet !" Lena, les gestes mal assures, commence a faire glisser sa robe, avec hésitation. Le martinet claque par deux fois sur ses cuisses . "dépêche-toi ! toute nue, j'ai dit!" Lena sursaute comme un gamine surprise et se décide a se déshabiller entièrement. Mes yeux se repaissent de sa nudité offerte, et sa soumission m'excite au plus haut point. Je me lève, fais le tour de ce corps nu offert, et laisse Lena patienter dans cette attitude troublante, debout, nue, malhabile, ne sachant quelle position adopter, tète baissée, fesses et visage rougis, fixant avec crainte le martinet que je fais claquer de temps en temps sur ma jambe. "a genoux! A genoux pour la correction!" Lena s'agenouille par terre, le haut du corps appuyé sur le canapé, les fesses bien offertes a la correction. "cambre -toi! Offre-moi bien tes fesses !… oui, comme cela, c'est bien !" Et clac! Le bruit divin des lanières de cuir sur sa croupe offerte ravit mon ouïe. Clac! Un deuxième coup, plus fort, arrache un cri a Lena et laisse sur ses fesses de merveilleuses traces rouges. "cambre toi! Je veux voir tes fesses offertes au fouet !" Lena obéit et les lanières continuent leur danse magique. Sifflement des lanières dans l'air, bruit du cuir souple qui cingle la peau offerte, cris de douleur et de plaisir mêlés, fesses qui dansent et se marquent sous le fouet, et senteur délicate de l'excitation de Lena, dont le sexe commence a ruisseler… Je me laisse aller un long moment au plaisir intense de cette fouettée, de cette divine punition… Puis, décidant de laisser Lena souffler, je cesse la flagellation. "debout, mains sur la tète !" Lena obéit, le visage humide, rouge d'excitation. "va au coin ! je veux te voir a genoux au coin, fesses présentées, tes jolies fesses marquées par le martinet!" Lena s'agenouille, mais face a moi, et commence a défaire ma braguette. Un peu surpris, je décide de la laisser faire, de profiter du plaisir qui s'annonce, tout en me promettant de lui faire payer sa désobéissance… Les doigts fébriles de Lena s'emparent de mon sexe et le libèrent de sa prison de toile. Elle contemple un moment ce mandrin, tendu a craquer, et l'engloutit avidement. Ses lèvres mouillées vont et viennent autour de mon membre et je me sens défaillir. Je réussis a surmonter l'abandon qui me gagne. "Je croyais t'avoir dit d'aller au coin!" Lena lève des yeux implorants vers moi… "Non, la punition n'est pas terminée ! la récompense sera pour plus tard. Pour l'instant, tu vas aller au coin, et comme tu as désobéi, tu auras droit a 10 coups de martinet supplémentaires! Allez ! au coin, et vite !" Lena obéit et prend la pose, a genoux, mains sur la tète, fesses offertes. Je caresse doucement mon sexe érigé en contemplant ce spectacle. Au bout de quelques minutes, je lui ordonne de revenir vers moi. Lena obéit, et se tient nue, face a moi, tète baissée, dans l'attente de la suite de la punition qu'elle devine sévère a mon regard… "Penche-toi en avant, mains aux chevilles !" "tu vas recevoir dix coups de martinet et tu devras les compter !" "Oh non, implore Lena, plus le martinet, je ferai tout ce que tu voudras…" "eh bien justement, prends la position et en vitesse !" et pour la stimuler, je lui fouette le haut des cuisses les lanières laissent des traces rouges sur sa peau fine. Lena obéit, se courbe… Clac! Un coup plus fort que les précédents cingle son fessier rougi. "aie! …Un!" dit-elle en sautillant "reprends la position!" Clac ! "ouille! Ddd..eux" Clac ! "trois! Ouille!" Les dix coups de fouet administres, Lena reste en position. "c'est bien", lui dis-je en lui caressant les fesses avec les lanières. "tu as été fessée et fouettée comme tu le méritais. Tu es d'accord?" "oui, merci" répond-elle, d'une voix rauque. Ma main a remplace les lanières, les caresses se sont égarées sur la fente mouillée… Et nous avons fait l'amour passionnément, dans une position qui m'a permis d'admirer ses jolies fesses rougies et zébrées par le fouet…. Jamais nous n'avions connu ensemble une jouissance si vive… 
Si ce récit (vécu!) vous a intéressée, n'hésitez pas a m'écrire pour échanger sur ce brûlant sujet qui nous passionne…  

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Régina et le martinet

 J'étais arrivé en vacances avec plein de monde pour une fête anniversaire à la fondue savoyarde à Genève. J'avais vingt-quatre ans. Les amis qui m'entouraient m'avaient inciter lyriquement à ne pas retourner à Paris après la fête, mais à continuer dans un pays de rêves, la vallée d'Aoste, coincée entre la Savoie et la Suisse. Célibataire et sans attache, j'avais suivi le groupe et le lendemain soir on discutait sur la terrasse d'un restaurant accueillant et italiano-français dans une charmante petite ville d'Aoste. On faisait bien un groupe d'une douzaine de personnes. Il était pas loin de minuit, et bohèmes nous étions. 

 La mère d'une des copines présentes décida alors où chacun pouvait aller dormir pour la nuit. La petite maison qu'elle allait habiter pour les vacances ne pouvait pas accueillir tout le monde. C'est alors qu'elle eu une idée lumineuse. La serveuse du restaurant, Regina, une grande blonde énergique avait un deux pièces pas loin du restaurant où nous étions en train de deviser. Elle lui demanda si elle ne pouvait pas me laisser dormir sur le divan de la grande pièce de son appartement, en tout bien tout honneur puisqu'elle garderait la chambre pour elle toute seule. 
 Regina me regarda et dit oui. Elle était bien Regina, pas du tout pouffiace comme sont quelquefois les blondes, mais plutôt athlétique et elle avait un pas décidé quand elle parcourait le restaurant. 

 Mon regard était attiré par son popotin bien rond qui paraissait musclé et fendu à souhait. Je m'émerveillais de ma chance, tout en pensant que la mère de mon amie avait sans doute préparé l'affaire quelques heures avant. Quand on a vingt deux ans, certaines personnes plus âgées pensent des fois à votre place, et le résultat n'est pas si bête que cela. Je rêvais déjà à la manière de séduire Regina qui continuait son service des boissons à la terrasse comme si de rien était. Puis chacun finissant ses verres, les covoiturages s'organisèrent. Je restais au bar avec le beau-frère de Regina, et l'on dégusta du Cutty Sark ensemble en attendant qu'elle finisse de ranger la salle. Elle nous rejoignit pour boire un verre d'adieu et je la suivais dans la nuit vers son appartement sur la colline à quelques cinq cent mètres. Arrivés là, avec un peu de musique et un verre 
de whisky servi, on commença à deviser sur le divan.

 Comme il faisait chaud malgré la porte fenêtre de la terrasse ouverte, c'était l'été, on se retrouva très rapidement en petite tenue. Cela ne fut pas long pour que l'on échange baisers et caresses. Regina ne semblait pas farouche et en insistant très peu on se retrouva à poil tous les deux pour des exercices aérés. De caresses en découvertes, de baisers en mains frôlantes et fouillantes, il ne se passa pas longtemps pour que mon paf trouve le chemin de sa chatte et j'entreprenai une sorte de va et vient bien connu par les amants qui font ainsi des petites fêtes pour obtenir la petite secousse que tout le monde connaît bien et veut retrouver dans chaque acte amoureux. Tout allait bien pour moi quand je me rendis compte que Regina, elle, n'allait pas si bien que cela. Je la trouvais 
très peu émue par les introductions et les allers et retours lascifs et répétés. 

 Elle semblait indifférente à mon style et même froide. Les baisers ne faisaient rien, les caresses non plus. Cela n'allait pas du tout. Si cela continuait, j'allais sûrement débander. Soudainement Regina se dégagea, se leva et marcha vers une colonne qui faisait décoration à l'autre bout de la pièce. Elle enlaça cette colonne de faible diamètre, me tournant le dos, le visage collé dessus, le dos et les fesses tournées manifestement vers moi. Je me levai éberlué. Je m'approchai d'elle pour essayer de comprendre, de dire quelque chose. Le désastre se pointait à l'horizon. J'hésitai à dire quelque chose d'intelligent. Il faut dire que : à poil, la quéquette un peu en baisse, ne sachant pas très bien comment reprendre et continuer la chose, cela n'aidait pas mon inspiration.

 Sans le vouloir vraiment, la panique gagnait, je devenais timide. Cela avait bien commencé, et puis pfuit, adieu baisers, fesses, roberts, peau nue, cul  odoriférant, orgasme et tout le toutime... A ce moment là, la joue droite appuyée sur la colonne qu'elle enlaçait, elle me dit deux mots : " Dans la commode. ". Je me tournai vers la commode, ouvrai le premier tiroir au hasard, et là sur du linge, des nappes bien repassées, reposait un objet inattendu, un martinet avec un manche en bois jaune et une douzaine de grandes lanières épaisses en cuir. Un objet rude, rustique et franchement fabriqué pour châtier la peau des enfants désobéissants. Le saisissant, je l'admirai, j'en n'avais pas vu depuis quelques années, du temps de mes huit ans, quand madame ma mère me coursait pour me cingler les mollets et les cuisses, alors que je rugissais de douleurs même si elle me ratait les cuisses. Le martinet à la main je m'approchai de Regina qui continuait à me regarder. A ce moment là, elle creusa les reins qu'elle avait splendides ; elle ressortait ainsi un adorable fessier bien pommé.

 C'était sans aucun doute une invite à entreprendre. Je laissai les lanières lui caresser la peau et je donnai un petit coup de martinet sur sa peau nu. Cela m'électrisa. Elle ne bougea pas d'un millimètre. Il lui en fallait plus, me dis-je. Je balançai une cinglade plus sérieuse, puis une autre encore plus forte. Quelques raies un peu rouges apparaissaient sur l 'épiderme. Je passai la main gauche dessus avec un indicible plaisir. La sensation de caresser les striures un soupçon gonflées laissées par les lanières est enivrante ; il y a un sentiment de puissance charnelle qui exalte l'esprit ; un sentiment de pouvoir et de liberté qui me faisait bander. Je recommençai plusieurs volées de lanières sur ces fesses bien tendues, bien présentées qui attiraient magnétiquement les cinglons sévères et la punition. Je les espaçai de plusieurs secondes mais continuais fermement à marquer la peau nue de striures que ma main gauche tâtait avec exaltation avant de continuer de 
la main droite à faire endurer les cinglons ardents. Son fessier commençait à balancer à chaque coup, son dos bien cambré paraissait en demander plus. Regina gémissait légèrement les yeux mi-clos. Sa bonne volonté à me tendre ses fesses m'exaltait. Je fouettai très fort tout en gardant des moments de répits pour passer la main sur les striures brûlantes. Je vivais un moment merveilleux entre 
adultes consentants. 

 Elle serrait la colonne très fort dans ses bras comme pour se faire prisonnière elle-même. Je continuai à incendier ces fesses bien rondes qui devenaient d'un beau pourpre sombre marbré. Je bandais à nouveau comme un dieu, et mon paf bien dressé balançait avec l'application de chaque cinglon. L'érotisme de la scène devenait torride. Le toucher de ma main gauche sur les marques gonflées faisait délirer mes pensées et mes sentiments. Une odeur enivrante et chaude se dégageait de la scène. Le bruit mordant vrillait mes oreilles. Tout d'un coup, Regina se détacha de la colonne, et m'entraîna vers le divan. Elle s'allongea sur le dos et m'attira pour se faire introduire vigoureusement et sans manières. J'entrais dans son con bouillant de lave, secoué par des mouvements de ventre frénétiques augmentés de spasmes impétueux et de râles de plaisir. 
 Et je finissai quelques instants après dans un orgasme presque simultané qui me laissa un souvenir inoubliable. Le lendemain tout allait bien entre nous, elle était amoureuse et moi aussi. Très rapidement je compris que si elle n'avait pas de décorations rouges et douloureuses sur la peau des fesses, elle ne pouvait pas avoir d'orgasme vrai en faisant l'amour. Et comme elle voulait impérativement des orgasmes, il lui fallait d'abord être fouettée avec les lanières du martinet avant que je puisse la troncher. Il fallait lui cingler la peau nue des fesses, leur donner le plaisir de souffrir. Elle se déshabillait quand j'avais le martinet à la main, et me présentait ses fesses en s'appuyant sur le mur, ou en s'allongeant sur le lit, les fesses bien en évidence avec deux oreiller sous le ventre. Elle cambrait les reins, et attendait patiemment les violentes morsures des lanières. 

 Cela voulait dire, fouette moi, ne m'épargne pas, sois sévère, sans pitié. Après et après seulement je pourrais baiser et avoir grand plaisir avec toi. Cela donne un sentiment de puissance au bonhomme, je ne vous dis pas. Pour tout vous dire : je m'appliquai. Les lanières font mal, c'est vrai, plus tard je les ai essayées sur moi pour savoir. Mais si les cinglons sont espacés, c'est à dire pas coup sur coup, avec des caresses de l'autre main pour apaiser les pincements et en même temps me faire grand plaisir en appréciant sous les doigts les légers gaufrages de la peau ardente et striée, la fièvre monte pour les deux en même temps et aucun des deux ne se sent frustré pour aller crescendo en vue de violents orgasmes inoubliables car ensuite on faisait l'amour comme des dieux.

   Je vais vous raconter un autre épisode vécu avec Regina et qui ne manque pas de piquant. La vallée d'Aoste est remplie de jolies routes pour monter en montagne et faire des excursions dans les prés et les bocages. On peut utiliser des funiculaires, mais aussi emprunter des chemins de mules pour visiter une nature exaltante avec des arbres très variés aux feuillages toujours changeant. On peut ainsi aller cueillir des myrtilles ou pécher des écrevisses à la main dans les ruisseaux aux eaux limpides. Dans une de nos promenades, alors qu'on avait goûté à deux mille mètres le repas frugal de jambon cru du pays et de la Fontine, le fromage du coin, on décida de redescendre par le chemin des mules et aussi à travers champs. La nature de l'été sentait bon, la chaleur baissait car il était cinq heures. On avait cinq cents mètres de dénivellation à parcourir, seuls, tous les deux dans un paysage merveilleux avec des bosquets d'arbres, des foins, des tapis de genévriers. 

 Tout d'un coup au détour d'un bouquet d'arbres, je tombai sur un beau buisson d'orties vigoureuses. Je m'arrêtai, je pris la main de Regina et lui suggérai de regarder les orties. Elle les contempla avec un frisson dans le dos que je sentis sous ma main. Je descendai un peu plus la main pour lui caresser les fesses et sans un mot je passai la main sous la jupe et remontai sur des fesses frémissantes justes recouvertes d'une petite culotte. Son regard croisa le mien, il disait " Si tu veux ? ". J'agrippai la ceinture de la petite culotte et je la descendai jusqu'aux genoux lentement mais inexorablement. Elle regardait fascinée le bouquet d'orties. Je me penchai, en cueillais cinq six, et en me relevant elle se colla à moi en me laissant relever sa jupe d'une main pour passer les orties sur ses fesses pommées de l'autre. Elle m'embrassait à bouche que veux-tu en même temps que les feuilles urticantes mordaient en diable la peau nue de ses fesses et de ses cuisses. Plus les pointes des feuilles la brûlait, plus elle geignait et me serrait contre elle à étouffer.

 Les quelques piqûres que je ressentais sur les mains m'en disaient long sur les douleurs et le martyre que subissait son fessier nu. Après quelques longues minutes de caresses urticantes horribles elle m'entraîna sur un tapis de 
genévrier un peu plus loin, et je pénétrai un con enflammé brûlant de lave odoriférante. Faire l'amour en pleine nature, sous le ciel bleu, avec l'odeur des bois et des foins c'est superbe. Un plaisir divin que je vous conseille. Pour les orties, il faut voir avec le fort consentement de madame, car cela n'est pas anodin, et les souffrances durent une bonne petite heure avec des minuscules cloques en supplément. Mais dans ce cas là ce fut divin, l'incendie de sa peau avait fait déborder son enthousiasme à baiser et rebaiser à couture rabattue. Je nageais dans le bonheur d'un nouveau Jean-Jacques Rousseau au milieu de la nature retrouvée. Elle orgasmait entre les myriades de vibrions incendiant son arrière train et le sexe satisfait, débordant de reconnaissance d'une pénétration sexuelle sauvage comme elle les aimait. Arrivés chez nous, j'ai traité les cloques avec un gant de toilette imbibé d'eau de Cologne à 80%, et Regina a eu alors de 
nouvelles sensations brûlantes qui nous ont entraîné dans des configurations érotiquo-orgasmique très audacieuses et très profondes, je ne vous dis que cela. 

 Bien excitée et les fesses en feu, Regina était une cavale passionnée et passionnante qui ne fallait pas décevoir. Cette promenade dans la nature nous a invité à y retourner. D'ailleurs les bois sont plein de ressources pour trouver des badines souples de bois vert, des verges efficaces faites avec de fines branches de châtaignier, de terre plein avec des arbustes rempant qui picotent un peu les fesses qui s'y reposent. J'ai eu plusieurs fois Regina embrassant un tronc rugueux par l'écorce, jupe relevée, fesses bien tendues pour une application méticuleuse d'une trique écologique juste cueillie à quelques mètres de là pour finir par un empapahoutage le meilleur venu, mon ventre collé à sa peau brûlante et excitante en diable.

  Je ne peux éviter de vous raconter une autre histoire avec Regina. Un hiver, elle était venue à Paris pour me voir. Pour une raison indépendante de notre volonté nous avions été coucher dans un hôtel rue Monsieur le Prince au quartier latin. De plus j'avais oublié d'avoir un martinet. Comme on avait fait la fête toute la soirée jusque tôt le matin dans les caves de Saint-Germain des Prés, on s'était endormi comme des souches quand on avait regagné l'hôtel. Au matin, enfin plutôt vers dix heures, le jour par les fenêtres nous réveilla. Et la chaleur du lit douillé plus l'heure matinale contribuait au fait que mon chibre avait fière allure. Aussi je commençai des manoeuvres exploratoires qui éveillèrent complètement Regina. Elle me laissa faire quelques instants, puis soudain se leva comme lors de notre première rencontre et alla se coller les fesses sur le radiateur à vapeur en dessous de la fenêtre. Ce type de radiateur n'existe plus de nos jours. Ils étaient assez hauts avec sur les faces de très fortes cannelures. La température de ce type de radiateur n'était pas touchable avec les mains.

 Cela devait être au moins soixante degrés Celsius. Donc, faute de martinet, elle avait été poser ses fesses sur les cannelures brûlantes de ce radiateur à vapeur. Elle laissait ses jambes entre ouvertes, et je l'introduisai ainsi facilement tout en la poussant de force sur les cannelures de ce radiateur brûlant que je ne pouvais même pas toucher des mains tellement c'était insoutenable et ça me brûlait les doigts. Avec ses fesses en train de cuire, je continuai à la baiser debout, collé à elle, avec ses fesses souffrant le martyre et pensant de plus en plus que les besoins spécifiques d'une masochiste ne sont pas vaines paroles pour enfant de choeur. Je vivais quelques minutes inoubliables avec un orgasme simultané de Regina qui me laissa pantois. Ce jour là, nous vivâmes un après-midi à Saint Germain des Prés idyllique, même si Regina grimaçait quand elle s'asseyait sur les chaises métalliques des terrasses de café.

 Durant cette après-midi nous choisîmes ensemble avec délectation un ceinturon de cuir pour mon jean. Un beau cuir bien épais, au toucher velouté d'un coté et lisse de l'autre. Elle m'expliqua qu'elle voulait essayer un vrai accessoire de macho, un cuir qui écrase les fesses à chaque coup, qui fait vraiment craindre le coup suivant. Heureusement que la chambre d'hôtel était bien insonorisée, pas à cause de ses gémissement mais à cause des claquement du cuir sur sa peau. En fait elle me raconta ensuite qu'elle préférerait le martinet avec ses lanières pinçantes et brûlantes à souhait. Ensuite la vie et ses aléas m'ont séparé de Regina. Elle est repartie en Italie et j'ai même appris quelle s'est mariée avec un homme autoritaire.


 Cette histoire est très proche de la réalité. J'ai changé les noms, mais elle s'est déroulée exactement comme cela juste à très peu de détails près. Je dois vous dire aussi qu'à peu près une femme sur dix aime bien être dominée avant les rapports sexuels. Mais par ignorance et par culture des revues féminines bêtifiantes elles passent à coté de relations exaltantes et fantastiques. 

Monseigneur Frank

fesseur@caramail.com

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Théodora et le martinet

 J'ai rencontré Théodora à un bal de l'Unesco. Je vous recommande ce genre de réunion où il y a un brassage de gens exceptionnels pour draguer. Théodora était petite mais plantureuse. Elle avait mis un corsage avec une gaze noire qui mettait en relief deux roberts excitants. Il était évident qu'elle était sémite. Quand on lui disait quelque chose d'incongru pour la choquer un peu : elle répondait d'une voix rauque « Vous croyez vraiment à cela ? » qui vrillait vos pensées comme si elle allait vous donner des conseils sur les sujets tabous de votre pensée. Elle était trop pour moi ce soir là.
 Après danses et conversations allumées par l'alcool de L'Unesco qui coulait à flot car elle y est détaxée, je lui faisais promettre de me téléphoner absolument le lendemain soir pour se voir à nouveau. Elle promit et ne jura pas pour des raisons de croyances d'après ce que je compris à ce moment là. Donc le lendemain on se voyait dans un bar histoire de se revoir et toujours sa question : « Vous croyez vraiment à cela ? » réveilla en moi l'instinct mâle de vouloir la violer dans le bar. On était accroché.
 Deux jours après elle venait dîner dans mon appartement de célibataire. Et j'apprenais qu'elle pratiquait la religion juive car son père avait été rabbin et que sa famille pratiquait un ensemble de rites religieux juifs. Moi j'étais surpris de draguer une fille juive alors que j'étais un pur catholique français. Mais peu importe, l'animal était de plus en plus appétissante et m'échauffait autant les couilles que les sentiments. Sous un prétexte qui n'en étais pas vraiment un je visitais ma chambre avec elle tout en pratiquant des gestes osés sur son dos et son arrière train qui ne laissait aucune équivoque sur ce quoi je voulais en venir. On s'effondrait sur le lit plus ou moins enlacés et j'insistais lourdement dans le sens que je voulais la troncher tout de suite et maintenant. C'est là que se passa un épisode très raide. J'étais affalé sur elle. Elle avait déjà les vêtements en sérieux désordre. A ce moment là elle me dit calmement « Je ne peux pas continuer car j'ai mes règles », fermer la parenthèse et fermer les guillemets. Je réagissais brutalement, je me redressais, je la regardais dans les yeux ; elle se redressa aussi car elle voyait à vue d'oeil mon visage changer. Et je lui balançais une paire de claques aller et retour qui ne pouvaient laisser indifférents ses deux joues qui s'empourprèrent.
 Puis je me levais du lit.
 Toujours assise sur le lit elle demanda tout d'un coup : « Pourquoi m'as tu giflé ? » La réponse arriva cinglante : « Tu te fous de moi. Tu sais très bien qu'un juif pratiquant ne doit absolument pas toucher une femme qui est dans sa période de règles. Et je pense que tu viens exprès de me laisser t'embrasser et te toucher pour te moquer de moi d'au moins deux manières : Une que tu laisses un goy te toucher pendant que tu as tes règles pour lui en faire honte plus tard et Deux que tu te moques de moi en pensant que même si je le sais tu me rends responsable d'une sorte de péché en violation de la loi juive que tu connais bien par la profession de ton père rabbin. »

 Et j'ajoutais devant elle qui était la bouche entrouverte ne sachant exactement quoi répondre à toute cette suite d'arguments péremptoires : 
« Maintenant tu t'en vas tout de suite, tu t'éclipses et débarrasses le terrain, et si tu veux me revoir téléphone-moi quand tu n'auras plus tes règles mais pas avant. » 
 J'ai attendu trois jours pour qu'elle me téléphone et me dire gentiment qu'elle voulait me voir et me parler. J'étais aux anges, je me sentais conquérir le monde entier et je ne regrettais plus du tout la paire de claques données très instinctivement qui avait provoqué cette nouvelle rencontre qui me paraissait très positive.

 En effet, après un repas chaleureux, une discussion profonde sur la religion et ses détails, je la tronchait à couture rabattue sur mon grand lit que j'appelais à l'époque mon quadriplace de combat. Et le combat avec Théodora était naturel, elle aimait la baise sans fausse honte et enfin de compte se laissait faire avec bonhomie aux demandes du mâle.
 Tu lui disais vient dans ma chambre et elle venait. Tu lui disais allons sous la douche ensemble, et elle venait. Elle était très obéissante à mes instances. Sous la douche elle te laissait la laver, tripoter en tous sens, introduire deux ou trois doigts dans le vagin et un ou deux doigts dans l'anus sans problème. C'est même là que je l'ais sodomiser pour la première fois sans hésitation ni murmure de sa part. Elle acceptait d'être une sorte de jouet érotique sous la douche comme si dans son fort intérieur elle voulait endurer les préludes d'une histoire d'O naissante.
 La glace était rompue et la découverte des sentiments, des pensées et des désirs de Théodora commençait. La baise n'était pas un péché pour elle-même si dans son fort intérieur elle n'oubliait pas qu'elle voulait me convertir à la religion de Moïse. Mais ça c'est un autre sujet. C'est là, quelques jours plus tard que se passa le second épisode épique de nos relations qui n'en étaient alors qu'à une première étape comme je vais vous l'expliquer plus avant.
 Sa passivité dans mes relations sexuelles avec elle me laissait loisir pour un peu de violences amoureuses dans les ébats. J'aimais bien la faire gémire en roulant les bouts de ses seins entre le pouce et l'index. Tout cela me donnait des idées et excitait ma curiosité sur son masochisme inhérent.
 Mais passons à l'épisode croustillant que vous attendez tous (et toutes).

 Durant les pauses elle aimait les discussions et cela ne me déplaisait pas. Assis tous les deux plus ou moins en tailleur sur le lit on était en train de parler d'érotisme. Et le sujet tomba sur l'usage ou le non-usage du martinet durant les ébats. Je me levais, allait chercher le mien qui n'était pas loin et le lui rapportait. Un objet rustique avec un manche en bois et des grossières lanières en cuir de vache choisies pour bien cingler la peau nue. Elle le manipulait et le touchait avec intérêt. Puis me vint une idée curieuse et un peu tordue. Je m'étendis de tout mon long devant elle sur le lit, lui présentant mes fesses nues bien en évidence et lui demandait : « Tu vas me donner le martinet, je ne bougerais pas, frappe sur mes fesses, n'ai pas peur, je ne t'en voudrais pas du tout si tu fais mal ». Du coin de l'oeil je la regarde hésiter en fronçant les sourcils. Elle frappe mes fesses nues d'un coup sans conviction. Je lui annonce « Tu peux frapper plus fort, allez vas y ». Un deuxième coup arrive qui pince un peu plus mais j'annonce toujours « c'est bien mais plus fort encore ». Un troisième coup arrive qui me mord un peu plus la peau. Je me dis intérieurement ça va être chaud et l'idée me fait déjà bander. Mais là il se passa quelque chose d'inattendu. Elle jeta le martinet loin d'elle sur le
lit et me dit « Je ne peux pas. ». « Comment ça tu ne peux pas ? » « Je ne peux pas, c'est tout » Je ramasse le martinet et j'ajoute « Si tu ne me donne pas le martinet comme je te l'ai demandé alors c'est toi qui va le recevoir. Donc tu choisis ou tu me le donnes ou c'est moi qui vais te le donner pour désobéissance à ma demande »
Elle ne me répond pas. Ses yeux roulent d'interrogation. « Alors que choisis-tu ? »
Réponse « Je ne sais pas. » « Ce n'est pas une bonne réponse ! » « Si tu ne peux pas, moi je peux. Donc tu te couche à plat ventre là et comme tu ne veux pas me donner le martinet c'est moi qui vais te le donner. Allez, exécution ! »

 Et là, oh surprise ! Elle se couche à plat ventre sur le lit, la tête dans un oreiller et me présente volontairement ses deux jolies fesses bien rondes prêtes au sacrifice comme Judith avait sans doute du le faire devant le roi Salomon s'il l'avait demandé. Je devenais son dominant avec son plein consentement. Quelle aubaine !

 Me voilà doublement pris au mot. Je ne veux pas lui faire peur mais en même temps je veux la faire un peu souffrire car c'est très excitant d'avoir une victime consentante sous la main. En fait je me suis toujours demandé si les gémissements d'une femme quand on la tronche à fond ne sont pas quelquefois des gémissements de douleurs en attente de l'orgasme qui met un temps infini à arriver.
 Je caresse ses fesses nues avec le bout des lanières pour lui faire comprendre qu'elle est à ma merci et les lance d'un petit coup sec qui mord sa peau nue.   L'avantage du martinet c'est que l'on peut mesurer parfaitement la force des cinglons. On peut y aller en accroissant la pertinence du coup pour que la personne ne se plaigne pas trop plus qu'un gémissement et reste volontairement en position pour la suite qui ne va pas tarder à venir. On peut même n'utiliser qu'une ou deux lanières en retenant les autres sur le manche, ainsi on rend l'agression plus modérée en étendue tout en assenant ces deux lanières plus énergiquement. En modulant les coups, surtout en attendant plusieurs secondes avant de relancer l'arme redoutée, on fait monter la pression sans effrayer la victime et ainsi elle reste à la limite entre la renonciation à son supplice et le consentement pour poursuivre dans la passivité.
 Les rougeurs s'étendent rapidement de la pointes des fesses pas très sensibles vers la périphérie. Il ne faut pas frapper les cotés des fesses, je veux dire la peau des hanches, pour une victime qui ne connaît pas ; car la souffrance est alors franchement trop sèche et peut provoquer une réaction brutale de rejet.
 On caresse, on prend possession, on pétrit de la main gauche la peau de fesses pour calmer les derniers pinçons et engager la victime à se détendre pour supporter la prochaine cinglade des lanières. La sensation de brûlure augmente, elle enflamme la peau et se communique au sexe comme un stimulus fort, lancinant et souterrain.
 La chaleur de l'incendie montant, on voit apparaître de merveilleux roulements lascifs des hanches, des contractions des muscles fessier qui incitent à fouetter plus fort pour accroître l'animation.
 En tant que bourreau du fessier je trouve un immense plaisir à voir se contracter les fesses durant l'impact des lanières, puis sous l'effet de la caresse qui suit, à voir les fesses s'épanouire comme une grosse pêche fendue qui mûrie au soleil et qui prend ses aises, puis au fur et à mesure de l'avancement des travaux, voir les hanches remuer comme la houle sous la caresse et surtout sentir cette peau chaude, légèrement gaufrée et odoriférante se plier sous la main et les doigts qui la pétrissent et la malaxent.

 C'est ainsi que la mayonnaise, je devrais dire le ketchup mais je n'aime pas le terme, prend. La victime ressent de moins en moins l'acuité des pinçons des lanières et l'impression envahissante d'être de plus en plus attisée sexuellement comme si elle se masturbait ; mais c'est mieux encore car elle a une attitude entièrement passive, elle n'a qu'à se laisser faire. C'est l'effet endorphine qui se met en place. La douleur devient de plus en plus supportable contrebalancée par une envie lascive de continuer dans cette voie brûlante. Les mouvements des hanches s'accentuent, les jambes s'écartent un peu plus. On pénètre dans le domaine fantastique de la fessée érotique, la fessée source d'une puissante motivation pour continuer à souffrir volontairement afin d'atteindre une stimulation
sexuelle maximum en direction d'un orgasme que la victime sent poindre à l'horizon de ses pensées lascives envahissantes.

 Voilà comment cette soirée là, je conduisis merveilleusement Théodora vers un gouffre érotique, un Vésuve de l'intempérance qui se termina par une baise éhontée et super avec orgasme et jouissance débordante, chaude, accueillante et même je dirais brûlante comme c'est le cas de le dire.

 Ah la belle fessée que je lui avais donnée ! C'était à mettre dans les annales. J'en jouis encore rien que d'y penser.
 Le lendemain je lui demandais ce qu'elle pensait de l'usage du martinet. Son silence en réponse fut une approbation que j'appréciais au plus haut point. Le martinet ne fut plus jamais très éloigné du lit, il restait à porté de main et certaines fois il servait. Ainsi quelques jour après il y a eu la scène suivante sur le lit où je lui disais : « Dis donc, regarde mon paf, il est prêt à agir et toi tu n'es pas du tout assez mouillée pour le recevoir. Si je veux te pénétrer cela va ressembler à un viol. Alors il faut faire quelque chose, tu ne crois pas ? Allez tourne toi je vais utiliser ce qu'il faut pour te faire mouiller, moi ». Et vlan ! Trente ou quarante coups lentement et posément donnés avec les lanières du martinet fut une excellente mise en forme pour des découvertes
lascives fantastiques. 
 Je lui ai toujours donné le martinet avec mesure et avec des attentes entre chaque cinglon pour que cela ne soit pas une vraie punition mais au contraire une montée sournoise vers des sommets incendiaires qui embrasent le sexe au plus profond et le fait dégouliner de cyprine aux odeurs enivrantes. Quelle merveille est l'odeur chaude des fesses rouges.

 Il ne faut pas hésiter à utiliser les choses qui rendent amoureuse une femme consentante. La barrière des hésitations étant franchie, ce que des gens appellent bêtement des perversions n'est en fait qu'une préparation pour une femme consentante, une joie douloureuse il est vrai mais une joie quand même de se mettre en accord avec son partenaire pour la meilleure jouissance de tous les deux.

 J'affirme que dans le cas de Théodora, une bonne fessée, enfin plutôt l'usage des lanières sur ses fesses nues donnait des merveilles et augmentait son assiduité amoureuse à chaque fois.

 Suite à l'incendie de ses fesses ses orgasmes étaient toujours plus profonds, plus complets, plus merveilleux bien que plus douloureux ; mais les raffinements suprêmes doivent se payer à la hauteur des désirs exprimés et consentis, n'est-il pas ?
 Cette histoire est réelle à part évidemment les prénoms qui ont été changés. Si vous voulez m'en parler, n'hésitez à m'envoyer un message.

Monseigneur Frank

fesseur@caramail.com

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M.à.j. 21-06-2014

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