Récits Homdom - Page 1

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Humiliation

Je suis son objet

Sous pression

Humiliation

 Elle était allongée depuis trop longtemps sur son lit. Les bras attachés relevés au dessus de sa tête, elle attendait avec impatience son maître. Elle était encore rouge de confusion d’avoir été obligée de se confesser debout devant son maître, la jupe descendue sur les chevilles, les mains croisées derrière son dos, les yeux baisés pour ne pas avoir à affronter le regard de son confesseur. Honteuse et humiliée d’avoir eu à raconter ses désirs et ses envies. Elle s’était d’elle-même imposée sa punition. A genoux sur son maître elle avait reçue vingt claques sur ses fesses charnues. Elle prenait un plaisir immense à se sentir humiliée devant son Maître, l’homme qu’elle aime le plus au monde. Obligée de se soumettre physiquement à lui l’excitait terriblement. Elle tirait de son humiliation un plaisir extrême. Son Maître l’avait ensuite allongée et attachée. Pour lui faire comprendre qu’elle n’était qu’un objet sexuel, pour son plaisir à lui, il l’avait bâillonnée. La boule rouge qui dépassait de sa bouche lui donnait un air de salope qui la rendait irrésistible. Il aurait aimé l’exhiber devant des inconnus pour leur montrer à quel point sa femme était soumise à ses désirs.

 Ensuite il était parti à des occupations plus importantes, remettant son plaisir à plus tard. Elle était donc restée un long moment seule, sa chatte encore trempée, car même si il ne lui avait pas touché le sexe, son humiliation et sa honte l’avait rendue folle d’excitation. Elle regardait tout autour d’elle dans la pénombre, la pièce éclairée à la bougie, la couleur chaude des murs donnait une ambiance très érotique à la situation.

 Soudain elle vit son maître rentrer, elle le regardait avec amour, ses grands yeux ouverts lui montraient à quel point elle l’aimait, comme elle avait envie de se donner à lui complètement. Il s’approcha d’elle, lui donna un bisou tendre sur son front, pendant que ses mains parcouraient son corps. Il aimait passionnément ses seins, fermes et ronds, d’une douceur qu’il n’avait jamais connue chez une autre femme. Tout en la caressant il lui murmura, « tu es pardonnée ma chérie, tu as été punie, tu es bien soumise et je suis fière de toi, j’aime quand tu es obéissante. Pour te récompenser je vais te fister. Tu vas connaître une expérience d’amour extrême, parce que ma main est le prolongement direct de mon cerveau, parce que c'est consciemment qu'elle est dirigée dans ton corps, c’est un sentiment de fusion intense qui va nous lier. »

 Elle ne pouvait rien dire, seulement le regarder, un peu angoissé à l’idée de recevoir la main entière de son maître dans son con, mais terriblement excitée de se savoir complètement remplie. Il se mit devant sa chatte, elle écartait les jambes avec impudeur. Il fit glisser deux doigts dans son con, il découvrit qu’elle était vraiment trempée. Il put aussitôt faire rentrer un troisième doigt qui n’avait aucune difficulté à rentrer. Il commença à la masturber, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, elle commençait à gémir malgré le bâillon; c’est alors qu’il glissa son quatrième doigt. « Je t’interdit de jouir petite salope » Elle sentait maintenant ses quatre doigts au plus profond d’elle, qui allaient et venaient de plus en plus rapidement. Sa condition l’empêchait de hurler, pourtant elle en avait envie. Elle se dilatait de plus en plus et elle sentait que son maître essayait de faire rentrer sa main toute entière. A chaque fois qu’il allait et venait dans sa chatte, il s’enfonçait de plus en plus, pourtant avec une douceur infinie. Elle voulait le supplier de la laisser jouir, mais elle ne pouvait rien dire, et elle savait qu’elle n’en avait pas le droit, pour son bien à elle, pour son plaisir, elle s’avait qu’elle devait attendre. Elle se sentait de plus en plus envahie par la main se son Maître, elle le regardait dans les yeux avec tant d’amour et de désir, elle le regardait sourire, il était très fière d’elle.

 Il eu un air de satisfaction total, une immense satisfaction remplit son visage et il lui dit : « Ca y est, je suis au fond de toi, ma main entière est rentrée. Elle se sentit complètement possédée par son maître, le plaisir l’envahissait et venait du plus profond d’elle. Elle voulait jouir, et son maître le savait bien, il continua quelques va-et-vient au fond de sa chatte, en faisant bouger ses doigts à l’intérieur. Il la regarda droit dans les yeux et lui dit, "vas-y ma soumise, jouis, jouis fort, inondes moi, car il savait qu’elle allait couler, faire jaillir de son con de longs jets puissants.

 Sa femme soumise était une véritable fontaine, une fontaine de plaisir. Elle était vraiment au bord de la jouissance, elle n’aurait pas pu attendre plus longtemps, et elle se mit à jouir, elle trempa les draps de sa mouille, jamais il ne l’avait vu jouir aussi fort et aussi intensément.

 Quand elle se réveilla, il faisait déjà jour, elle était détachée, et elle dormait dans les bras de son maître, collé contre lui, sentant la chaleur et la douceur de sa peau. Elle était enlacée et elle sentait à quel point il l’aimait. 

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Je suis son objet

 Plus les jours passent et plus il me domine et prend possession de mon corps et de mon esprit. Il y a quelques jours, il m'a demandé d'allumer une bougie et de verser de la cire chaude sur la pointe de mes seins. La douleur sur l'instant fut vive. Les pointes de mes seins sont déjà sensibilisées par la chaîne qui les étire. La cire les firent se dresser encore plus, provoquant une douleur. Quelques instants plus tard, il m'a demandé d'écarter les lèvres de ma chatte et de faire tomber une goutte de cire sur mon clitoris. Là encore, la douleur sur l'instant fut forte. 

 Il me demande toujours d'écarter les cuisses au maximum, je dois également très souvent m'engoder. Très gros gode pour ma chatte, plug pour mon cul. Il me laisse ainsi, m'interdisant de me caresser ou, depuis peu de temps, simplement me frotter contre les draps à quatre pattes ou sur le ventre. Cette position est fort humiliante surtout qu'il me traite de chienne en chaleur, que je dois le lui dire et qu'il me demande aussi quels sont mes tarifs et combien de foutre j'avale ou combien de bites m'enfilent tous les jours. Il souhaite me voir uriner à quatre pattes sur des journaux. Cette nouvelle expérience me fait peur mais je sais qu'il ne cèdera pas. Je crains également qu'il ne ferme ma chatte et mon cul avec de la cire, mais je sais que je dois lui obéir il a tous les pouvoirs sur mon corps, sur ma jouissance, sur mes caresses et que je peux être punie à la moindre désobéissance. 

Tesse© nexoid@voila.fr

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Sous pression

 Sa domination est devenue à ce jour plus forte qu'elle ne l'était déjà. Je ne dois plus porter de jupe et je dois être nue quand je suis chez moi. Quand il me parle, je dois écarter les cuisses. Mes lèvres sont écartées et la chaîne qui tire sur mes tétons doit toujours être accrochée. Il me fait de plus en plus porter mon collier accrochée à ma laisse, celle-ci attachée au pied de mon bureau. Il me demande de plus en plus souvent d'être à quatre pattes à coté ou sous mon bureau, la laisse bien tendue. Dernièrement il m'a fait acheter une gamelle pour chienne où j'ai du inscrire mon prénom. je dois, à sa demande, manger des croquettes pour chien directement dans la gamelle. Il m'a fait creuser un trou dans le jardin ; je dois uriner de jour comme de nuit dans ce trou. Nue et accroupie la nuit, le jour je dois faire toujours nue mais à quatre pattes. Je n'ai pas le droit de m'essuyer et je dois lui demander l'autorisation quand j'ai des besoins. IL m'a fait acheter un gode gonflable que j'ai dû introduire dans ma chatte et que j'ai du gonfler au maximum ; la douleur était très forte. Quelque jours avant, il m'a demandé d'introduire deux godes dans ma chatte. J'ai dû également garder un gode enfoncé dans ma chatte et cacheter celle-ci à la cire. Quand j'ai eu l'envie d'uriner, j'ai dû forcer pour que la cire craque, laissant mon urine couler le long de mes jambes. Il me demande également d'uriner en même temps qu'il me donne l'autorisation de jouir. Si je refuse, je n'ai pas le droit de jouir. Ses mots à présent sont très humiliants ; il ne dit plus "seins" mais "mamelles", il emploie également les mots "femelle", "chienne", et "objet". Il désire à présent me livrer à des hommes qui feront de moi ce qu'il voudront dans une cave, nue et attachée à quatre pattes sur de la paille. Ce qu'il exige de moi est de plus en plus bestial et son emprise de plus en plus forte. Il m'humilie de plus en plus, ne me laissant plus de choix. je suis devenue sa chienne et son objet. 

Tesse©

nexoid@voila.fr

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M.à.j. 21-06-2014

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